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E M A R C H A N D.
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pragres de la putréfactian, cambien de temps ces plantes
ant été ballottées par les vagues , cambien elles en ant
employé
a
se rendre au point ou on les trauve .. on peut
done, mais sans doute dans des cas tres-rares, en tirer
quelque
ind~ction,
qu'il ne faudroit pas regarder comme
une Dannée certaine, sur la distance ou l'on doit etre
de la Terre; mais on ne doit pas négliger de faire entrer
dans ce calcul de probabilité , camme élémens néces–
saires ,
la directian et la force des vents, des vagues ,
des courans, ainsi que d'autres circonstances acciden–
telles
1
n.
lL
NE m'a pas été possible de dénieler quelle est
l'Espece parriculiere de
Canard
que le capitaine CHANAL
désigne dans 1
OlJRNAL DE
RoUTE
par le nom de
Canard Loundaud,
On lit da s a
R
la i
du s ond
Voyage de Coo
. FoRS
A
1-ais
virent da ns
JHRIS MAS-SOUND
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Cote Méridio
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un oiseau
que l'on prend
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u'n
Ganar
,
s'il n'é oh . plus
gros que ce Palmipede , et n'avoit les ailes heaucoup
plus courtes : les Matelots le nommerent
Race- Horse
[ Cheval de Course] ,
a
cause de sa grande vhesse ;
, mais, dit FoRSTER, les Anglais lui avoient donné aux
Hes FALKLAND [ MALOUINES] le nom de
Loggerhead–
Duck,
Canard-Lourdaud
•.
BUFFON croit devoir rap–
porter cette Espece d'oiseau. au Genre des
Manchots
3 ;
' Voyez
G. Forsttr's Vl!)lag!.
Vol.
J.cr,pages
9:¡ -
93 .
2
lbitl.
Vol. 11, page
493·
• Voyc'l. ci-aprcs la fin
d~
l'article
Manchot.
1
3.
Goú1 0¡.¡.
CANA~!'
LOURllAUD.