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DE
MARCHAN D.
161
et aux yeul' du Chasseur
;
et comi:ne le.urs nids son t
quelquefois situés sur des Cotes escarpées , dans ·des
fentes de rochers
J
a
une grande hauteur ' l'ignorance
. de ce fait a coilté la vie
a
quelques Observateurs. ,,
1
Je passe
a
la
description particuliere de quelques•
u'nes des Especes.
Les pren1iers
Pétrels
que le SOLIDE ait rencontrés ,
le
3
Février
a
1
<legré
au
Sud de la LTgne , dans
l'OcÉAN ATLANTlQUE ÉQUINOXIAL' sont désignés,
<lans le JournaI' du capitaine CHANAL , par la simple
qualification de
Pétrels Noirs;
ce qui ne suffit pas pour
caractériser l'Espece : les deux premiers
Pétrels noirs
de la Liste (
N.
05
1
et
2 )
appartiennent au
GRAND–
ÜCÉAN;
l'Oiseau des Tempetes
(
Nº.
4)
noir aussi ,
appartient bien
a
l'ÜCÉAN ATLANTIQUE; maÍs il est
si remarquable par sa petitesse com atiMivement
a
cel!e
d es autres
E ~pec
qu'"I n
eu pas
u :-
f
observe qu' un
'
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oiratre
0 ,
br
I'é loignement,
pe'7~;::~~=
$UppOSitÍOn,
Ce
• a r I 0
t
és
a
Un
<l egré au Sud
de
a
·gne.
p.omroient erre ou le
Pétrel
Brasilim
(
N.
0
14)
noiratre; ou
le
Pétrel Équi11oxial
( N.º
1
5 ) brun sans tache, Ie bec jau11e, les pieds bruns .
On a vu dans la
RELATION
(Tom.
l.•r
P.
I
5
a
17)
la Description tres - détaillée que le chirurgien
RoBLET
nous a donnée de l'Espece de
Pétrel
que son
plumage marqué de blanc et de noir , coupé symé–
triquement et en maniere d'Échlquier,
a:
fait appeler le
D.~MIER
par .tous nos Navigateurs : voici celk que
BUFFON a faite du meme oiseau d'apres le rapport de
' P lusieurs N aturaliste' ont pensé que le
Damier•
devoit
4.
L
1
791.
F évrier,
3•
PÉTRELS,
\.
Le-' D amier
noir el
blanc.
)