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D E M A R C H A N D.
ro3
Le
T/1011
de l'ÜCÉAN passe pour etre moins
ru~é
g.ue179
1.
celui de la MÉDITERRANÉE; il est plus huileux ,:
¡¡'
est.
Ja11 ier.
maigre sur les cotes de
SARDAIGN~,
meilleur su.,r celles
21 •
de FRANCE ; gras , mais d'une saveur fade , 1ans la
TttoN, .
MER NüIRE. Si' comme l'on ne peut guere en .doJ ter'
le
Thon
de la MÉDITERRANÉE est le meme que celui de
]'ÜCÉAN_, et qu'il ne soit .que de passage dans la Mer
i ntérieure .,. on ne peut attribuer les différences dans la
qualité de ceux qui se prennent dans les
div'ers ·p~rages
de cette Mer , qu'a la différence des
dimat~
et de la
•température' ou peut-etre a la diversité de leur nour- '
riture pendant la durée de leur séjour sur chaqué partie
des cotes ou
1'011
en faít la peche ..
J¡a~
Pélamicle.
particulier d' RISTOTE au rapport duque .les
jepnes
Tlwns
qui éwient sortis en Automne du PONT-EUXIN,
s'appeloient
Pélamides
au Printemps suivant, lorsqu'ils
revenoient dans la memé Mer; et il leur fall<0it ·encore
une année
d'accroiss~ment
pour parvenir
a
i
ér.atde
véritables Tlzons.
On voit• par - la que les
P élamides
n 'étoíent distinguées des
Thons
que par des différence,s
qui tenoient a celle des ages : plusieup
Natur~listes
modernes ont adopté'
a
cet égard' le sentiinent des
Anciens.
La
P élamide-Tlion
c;I'ARISTOTE se rencontre et so
peche dans la MÉDITERltANÉE, comme dans l'ÜCÉAN
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