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III

I

Pardonne haut oleil les défaut adorant

De qui, pour Saluer tes clats ra onnant ,

De ses Pays contraint toujour dans la

el'"'

ur

ans

fil

d'or pénétrant le Langage eltique,

Par un destin secret fut le vivant au ure,

Qui, des lors,

pronon~ait

Bourbonne l'Am' riqu

V .

Depuis que de la Paix le verdoyant Rameau

Etonna le Discord, comme un terrible fléau,

Qui chassant les furies a leur Royaume affr ux,

Parut, com¡ne l'Aurore éclate apres Ja nuit:

Et qu'avec l'lbere en un acc.ord heureux

Partageait le gaulois de ses feuilles le fruit.

\ I

Le Nume

a

qui le Ciel a baillé les Balances,

lima

Qui avec des poids d'Astres estirqent les Puissance

Et forment aux humains des contrepoids 'gaux

De la juste Tbémis et la Fille et la voix,

Qui donne des arrets

a

.des Plaideurs Royaux,

Et fait des Lois pour ceux, qui regnent sur les Loix.

VII

Voyant l'Auguste Char de l'Espagnole Sphere

Sans un jeune Héritier de sa vaste lumiere,

Et sans un Phaéton le Soleil de l'Autriche:

Emu~

de nos voeux au, pre santes atteintes,

Sur un chariot de Sceptres, et de Couronnes riche

ole, et porte au Ponant nos soupirs, et nos plaint

\/ III

Tout-Pui ant lui dit, dont le vouloir divin

E

t

le Droit de Empires, et des Rois le Destin:

O toi, qui sur le eaux de la Foi la plus pure

As de l Orbe lbérois établi la Pui anee