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Et de sa suite seuls resteront 'terne!
De CHARLES les recors en babit de plaisir.....
XXXII
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Dans cet apre naufrage, ou l'Espagnol Empire,
Est l'Arion flottant, dont la peine est la Lyre,
N'espere le support dans ses fiers abandons,
Que d'un Royal Enfant, que d'un Auguste Image
D'un Céleste DAUPHIN, qui cede ses rayons,
Et lui donnant autant, lui donne davantage.
1
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XXXIII
De l'Ibere Chariot prends désormais les resnes
Ou les métaux brillants fon t de légeres cha!nes:
Bride les doux Chevaux, mais songe, en les bridant
Qu'ils gardent le sentier
q~e
fraye ma justice:
Rongent l'or dans le mors, non pas dans 1aliment:
11 n'y en a que la faim, qui fait leurs précipice.
XXXI
Le Mérite savant, et le vaillant Mérite
Font les roues du Char, dont l'étoffe d'élite
. Tournoi sur l'Essieu de la Vertu solide:
Les Finances le Corps, le Si' ge en
f
ai t l'Amour:
Mais la droite Raison est le Timon, qui guide,
Et tout prendra de toi le branle et la plendeur.
XXX
Id Astrée finit et dan le ein de 1air
S'éleve, et disparait, tel qu'un brillant clair,
Laissant apr s on vol un ill n de lumi re;
Lors le Royal Logi reste tout lumineux;
Et PHILIPPE alors, ans ciller la paupi re,
La suit a ec l'e prit
pl~in
de tran por heureux .
.XXX 1
Obéissant au Ciel on départ il apprAte
L'E pagne hate e pa , la France le arrAte
Du grand Arbre de Ly les Branches, et le Tron
De joie, et de regret jettent un double pleur
entant s'en détacher un Royal Rejeton,
m a former la Tige
l'
lb' re randeur.
XXX\11
ou on arro e on voit e fondre le
gJa~on
ui font vieillir chenu Je boi le pr , le mont