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41 -6

S O

tie de lambris

qu.i

fe met devant 1

appu.is

des croí–

fées.

SOUSBERME,

voyet

SOUBERME.

SOUS-BOUT,

enUr:me de Cordonnier ,

ea ce

'qU'on appelle

lalon.

eft faít de peúrs morceaux de

cuir cloués enfemble.

SOUBRlGADIER

dans La CavaLerie

dl: un

has offi cier qui

com~ande

fons

brigadier,

qu i

l'aide dans l'exercice de fes fonétions.

Voye{

OFFI–

CIERS.

Chambers.

SOU -CAMÉRrER,

m. (

Hifl.

mvd, )

celui qui

efr fubordonn

au cam

ríer ,

qui fuccede

fes

fonCtions.

Voy't

CAMÉRIER.

SOUSCAPULAIRE,

(Anal.)

~ufc.1e

JouJcapll–

¡aire

efr íiwé dans toute la forre

JoltfcapuLaire,

vient de la bafe de l'omoplate

de la

forrefouflaplt–

[aire ,

s'in(ere par un tend'On demi - circulaire

él

la petite tllbéroíité qui fe remarque vers la tete de

l'hllmerus.

SOUS - CHAMBELLANS DE

'ÉCHIQUIER ,

( Hifl. nwd.)

deux

offi~iers

de ce

~ribllnal

de Lon–

dres qui fendent les tadles ,

qm en font la leCtu–

re ,

~fin

que le elerc de,la peau.

fes controleurs

puirrent voir que les entrees font Juftes.

Voye{

ECHI–

QUIER,

AILLE, PELLS.

C'eft eux aufIi qui font la recherche de tous les

aCtes enreoiftrés

la ttéCorerie,

qui font chargés

de la

gard~

dugrand cadafrre ou terríer d'Anglererre.

Voye{

CUAMBELLAN.

SOUS-CHANTRE, f. m.

CHiflo

eccL4/.)

eft un of–

ncier de chreur qui officíe

la place du chantre.

Voye{

'CHANTRE.

SOUS-CHERIF,

voye{

SCHERIF.

SOUS-CHEVER , v. aCt. (

Carrier.)

c'eft couper

la pierre en-deífous avec le marteau appellé l'

eJ/e

la féparer du banc qui efr inférieur.

SOUS-CHEVRON ,

(Are/lit.)

piece de bois

d'U11 dome, ou d'un comble en dome, dans laquelle

eft a!femblé un bout de bois appellé

dé,

qui retient

deux chevrons combes.

(D.

J.)

SOUSCLAVIER, RE , adj.

Anatom.

fe dit des

parries íituées Cous la c1avicule.

f7oye{

CLAVICULE.

Ce muCcIe

foufcLayier

s'attache fous la portion hu–

mérale de la clavicule,

fe termine

la premiere

c ote.

Les arteres

JoufcLavieres

(ont au nombre de deux ,

¡'une

droite , l'autre

gauche , elles naiífent de 1'ar–

cade de l'aorte,

changent de nom lorfqn'elles Cont

parvenues au - de!flls du milieu de la premiere vraie

cote.

L'artere

foufclll'Yiere

droite, qui efr la plus gro!fe

plus

lon9l~e

des deux ,

iett~

~ediafrin

, .au thi–

mus , au pencarde ,

aux lannx,

&c.

des petnes ar–

teres ,.fous le nom' de

médiajlines

thymiques

p¿ricar~

dines,

traclz¿aLes. V oye{

MÉDIASTlLE, TH YMI–

QUE,

&c.

J(JufcLaviere

droite prodllit

un bon travers de

cloigt de fon origine, la carotide droite ,

pen de diC–

tance de la carotide, elle dOl1Oe ordinairement qua–

tre rameaux, qui (ont l'artere mammaire interne

l'artere cervica1e, l'artere vertébrale ,

qu elquefoi~

intercoíl:ale Cupérieure.

Voye{

ARTERE

MAMMAI~

RE , CERVICALE, VERT.ÉBRALE,

&c.

"LaJou:fcL~viere

gauche fe diftribne a-peu-pres de la

meme maOlere que

la Joufrlaviue

droite .

La veine

fouji:Layiere

droite efr fort courte, elle eft

for~ée

par le

co~cour~

des veines

ve~tébrales

, ju–

gulalre mterne , Jugu[alre externe, cephaliqüe

axillaire.

Voye{

VERTÉ-BRALE,

&c.

La :reine

Jou[clavier~

gauche: eft plus longue, Olltre

{es velOes vertebrales, Jugulalres,

&c.

elle rec;:oit le

canal thorachique, les veínes peCtorales , les ínter–

cofiales fupérieures.

Voyet

T HORACHIQUE, PEC–

TORAL ~

&c.

O U

SOUS-CLERC,

Cm. (

Gram. )

qni

eft fubordon.

oé au elerc,

qUl travail[e fous lui.

SOUSCLOISON,

en Anatomie

,fe dit d unecolo •

ne graiífeufe, appliquée au-bord inf¡'rieur de la d o:

Con cartilagihen(e de narines.

Voye{

Les muCcIes de la

fouJcloiJon

font des fibres char–

ones qui partent de

lafouflLoiJon

s'u11Í(feñt aux

bres de l'otbiclllaire des levres.

SOUS-COMITE , f. m.

lerme de Gaüre,

nOm de

ce[ui qui fait aller le q1artier de prone, qui eft entre

l'arbre de meftre,

l'arbre de trinquet.

SOuS.CONTRAIRE, adj.

Glom.)

lor[quedeu~

triangles femblable9 font places de fac;:on qll'ils ont

un angle commun.

Voy.(PL.d~

Géomfig·44.)

au (om–

met, fans que lenrs ba{, s foient paralleles : on dit

qu'ils ont une poíition

fous-contraire ;

dans ce cas

l'ang[e

eft

I'angle

D ::::;: C. Voye{

Tl~

PARALLELE , au

fTrot

PARALLELE.

Si le cone fcaiene

B VD

eft tellement coupé par

le plan

C/l,

que l'angle en

foit égal

I'angle en

le ca ne efr dit alors etre eoupé d'une maniere

loil.s~

contraire

la baCe

B D.

Clzambers.

(E )

SOUS-COSTAUX ,OIlINTER-COSTAUX-DEVE_

RHE

EN ,

natomie,

110m des muCcles íitués fous

les cotes.

Voye{

COTES~

Ces mufcles fe remarquent

la face interne des co–

tes,

viennent de la

6, 7, 8 ,

des cotes, vis–

a:vis de l.eur angle,

tern~ine nt

a la cote fupé–

neme Úuvante ,

quelquefols

la quatrieme.

Ces mufcles avoientdéja été décrits par Euftache .

uivant que l'obferve Morgani.

SOUSCRIPTION, (

Gram.

Jurifpr.

)

efr l'ap..

poíiúon d'une íignature au-deífus d'un écrit; foufcri.

re une promeHe ou billet, c'eft le íigner.

Yoye{

SI~

GNATURE.

(A)

SOUSCRIPTION, f. f.

( fonds en AngLeterre )

cemot

fe dit en Angleterre de l'intéret que les particllliers

prennent dans un fonds public , ou dans un établiíre–

ment de commerce, en íignant fur un regifrre ponr

combien ils veulent y prendre parto Pre{que tontes

les grandes affaires fe font, dans ce pay s-la , par voye

foltfcription

c'eft une excellente m 'thode.

(D.

J. )

SOUSCR1PTION,

(Commerce.)

c'ea l'engage–

ment que cellli qui

Coufcrit.un

billet , lettre"de-chan>

ge , prome!fe, ou obligation, prend en y ajomarit

ía íignature, d'etre la caution de celui qui les a faits,

de payer pour lui

s Commes quí y font contenu .s,

d'acqUltter toutes les clau(es qui

font fp écifiées ,

e~forte

que cellli

Oll

ceux au profit de fquels lefdits

blllets ,.lettres-de-change , promef[es

ob!igations,

ont autant de débiteurs tenus de l'acquit de leur.det–

te,

de l'exécution des engagemens pris dans ces

attes, qu'il ya de perConnes qui y ont 'mis leur íigna–

t~lre

, ou

fOltflriptiorz ;

011 ne demande des

foufcrip–

llorzs

que pom plus de ftlreté ; c'eft un vrai caution-

nement.

Savary.

(D.

J.)

SOUSCRIPTlON,

dans le"Commerce des Livres,

íigni–

l'obligatíon de prendre un

c~rtain

nombre d'exem–

pla~res

d:u.n livre qu'on doit imprimer,

une obli–

gatlOn recIproque ele la part

libraíre, ou de

l'é–

diteur, de délivrer ces exemplaires dans un certaín

tems.

Les conditions ordinaires des

JouJcriptions

font, du

coté du libraire, de fournir les livres

meilleur comp–

te aux [ou(cripteurs, qu'aux autres ,

un tiers, Oll

yuart du prix de moins;

de la part des fouC–

cr~pteurs ~

de payer moitié du prix d'avance,

~eíl:e

en recevant les exemplaires : c'eíl: un avantage

~gal

pom l'un

pour l'autre : car paree moyen, le

h br<l'lre a les fonds néceífaires pour ex

cuter une en–

trepriCe , qui autrement Ceroit au-deífus de (es forces ;

ie foufcrípteur res:oit en qllelque fa<;on l'int

ret de

fon