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sou

De mcme s

il

faUoit dooner

él.

3

la forme d

VI

L;

faudroit

é

e

er

3

a

fa quarrieme puiífance

&

met-

~

tant

au-de ant le úgne radical, on

2.~lroit

ffr

ou

'SI

i

,

qui a la meme forme

que

V-¡;:.

Et par ce moyen , une ftmple fraétion

fOllrde ,

dom

le

íiglle radical n'afFeae que l'un de (es termes

~

peut

éti"e changée en un autre

~

dont le numérateur

&

le

dénominat ur (oient

affi

a 's du úgne radical. Ainú,

-

f

vi'"

fe reduit

a

V

:\

&

J -

re ieot

a

J-~

¡

V4

_

- 4-

,

ou le figne radical affeae le

numéra~ur

&

le déno–

minateur.

Recluire les irrationels úmples , qtli ont des fignes

radicaux différens,

&

que l'on appelle irrationels hé–

térobenes ,

el

autres qui peuvent avoir un figne ra–

dical commun, ou qui (ont hOPlogenes. Multipliez

les expo(ans I'un par l'autre,

&

élevez ml tuellement

la puiíI'ance de l'un au de <;r ' de l'expo(ant de l'autre:

ainú pour reduire

~

&

V-

bb

a

lln ftgne radical

,

~

commun ; multipliez l'expo(ant

2.

clu radical

V

a a

4

par l'expo(ant

4

du radical

Vbb ,

&

: Ievez en me-

me tems la puiífance

aa

du radical

Vaa

au qua-

s

,

trieme degré ,

&

vous aurez

V~

=

V

da :

parei.l-

4

tement multipliant l'expo{an:

4

du radical

VTb

par l'expoCant

2

du radical

~,vous

éleverez la

.

puiífance

bb

du radical

vb b

au (econd degré , ce

s

4

~

4

qui donnera

v b7

==

Vbh;

ainú

Vafl

&

Vbb

(e

s

s

trouvent transform 's en

V~

&

vb4

ql1i ont un

{tgnc

r3elical commun.

Pour reduire les irrationels al1X plus petits termes

poaible , divifez la quantité

fourde

par quelqu'une

(le

puiífances eles nombres natl1rels

1 , 2,

3,

4 ,

& .

de m

~me

deoré que l'expoCant du radical, pour-

u que cela puiffe fe faire

(a.ns

aucun refl:e, en em–

ployllm toujours la plus haute puiífance poif:bl :

J11

ttez enCuite la racin de cette puilTance au-devant

(In Guoti nt ou de l'irrationel ainii divifé , vous au–

r

'L

une nouvelle ql1antité

f oarde

,

de meme valeur

qu e la premiere ; mais en termes plus ftmples. Ainfi

V

16

a ab,

en elivifo nt par 16

aa,

&

faifant précé-

er la racine

4

a,

fera reduite

a

celle-ei

4

a

V

T;

&

j

v7:;,

s'abaííI'era

a

l.

v'J."

de m"me

v-;;-¡;;-;.

s'aOOi(-

J

fe

a

b

V-;:

J. ;

n

s

O

OURD,

COUleau ,

Urme

de

Corro

eur'

un eo ltealt

fourd ,

efi une eCpece de plane qui n'el pas . tTéme–

me!1t tfan hant ,

qui

leur fert pr 'parer leur cuirs.

D.l.)

. o RD, .C

loaillene.

)

1

s Joail¡.jers dl(ent gu'une

plerre efl:

jourde ,

qu'el!e a que!Cflle chofe d

fourd ,

quand elle na pas tout le brillant

T

tout

1"

lat que

les pierres d'une {emblable efp eee doiv nt a oir

pO~lr

Cfll elles {oient parfa ites.Les paíll s

& I

s glaces,

qUI (Ont d grands d 'fauts dans les pierre précieu–

fes ,

&

un certain reil fombre , ob{cur

&

brouill'

que d'autres ont quelquefois , iont proprement

le

j óurd

de la joaillerie.

(D . l . )

SO RDE, COUCHE,

(lardinaoe.

)

r oye'{

Cou..

CH E.

.

OURDE

lime ,

f. f. (

terme de S errurilr.)

on app !le

¡Ílm j ouIde ,

celle qui ne fair point de bruit. Elle ea

.toute enveloppée de plomb

&

le manche meme , de

fone qu'il

n'y

a que la partie qui lime qui {oit dé–

couv ne. Elle {en

el

eouper fans bruit les plus gro(–

fes barres de fer , pourvu qll'on les env loppe auff/

de plomb, n'y laiífant rien de décollvert que pour

le jeu de la lim . Le plomb , qui efl: fort doux , em–

peche le t1' .mouíI'ement de parties du fer qlli cauCe

Le

brl1it;

d~

meme que la main, quand on la met

fllrulle c10che qn'o n frapp e.

(D.!.)

SOURDELI E,

r.

t. (

Mufiq. injlmm.

) infl:ru-

111

nt d mllfiqlle

a

vent; c'efl: nne eCpece de mufette,

qu'on appelle auffi

fampogne,

&

qui étoit autrefois

d'uCage en [talie.ElIe efl: diffé1'ente de nos nm[ettes,en

ce qu'elle a ql1atre challlmeaux avec plufieurs trons

garnis de bo"tes , qui (ervent

el

les ollv rir

&

fen:ner ,

&

'gui s'avancent ou fe reculent par le moyen de pe–

tits reíforts. On a attribué l'invention de la

fo urd line

a

Jean-Baptille Riva ,

a

dom Julio

&

a

Vincenze.

( D .l.)

1

I

I

SOUl\DINE ,

r.

f. C

Fortification.)

br1uit fourd

qu'on faít

ti

ire

a

une trompette pour qll'il s'étende

moins. loin. On fe fert pour cet effet d'un mOi'Ceall

ae bois qll'on introduir dans l'ol1verrure de la trom'"

pette; il fl: pe1'cé tout dulong ; il Cen

él

r 'tr ' cid'on–

vertl.LTe de cet inítrument , ce qui en étouffi le fono

Voye{

T~O M PETTE.

(Q )

SOURDI¡ E,

f.

f.

( Horlogerie.

) c'efi une piece

de

la cadrature d'une montre

el

rép ' tition,

voye{

SX

fig.

&

PLanches de l'HorLogerie,

difpofée de fas;on

que

pou{l~lnt

en dedans la partieX, les tiges

des

marteanx

frappent contre les extrémités

tt

de cette piece , de

forte qu'alor les marteaux n fra ppant plus ni [ur le

~mbre

ni Cur la boete , on n' ntend poil1t fonner la

r ' pétition ,

&

1'011

n'apprencl l'heure que par le taa,

ce qui a fait donner

él

cett~

piece le nom de

f O/trdine.

Les

f ourdines

ont été inventées principalement pOllt

les r 'pétitions

a

timbre.

$ourdine

fe dit encore d'un petit bouton [¡tué

a

la

111nette d'une montre

el

r 'pétition,

&

ql1i répond

él

la partie

X

de

lafourdine ,

de fa s;on Cfll'en appuyant

fuI' ce bOllton , c'efl: la meme choCe que ft l'on le fai–

foit fur la partie

X,

au moyen de quoi les coups des

marteaux font rran(mis de mcme au dehor ; quel–

quefoi eetle

dernierejóurdin

eíl: fitu ée

a

la cuvette,

alors elle répond rureaement au marteau qui vic;:nt

frapper deílus.

.

OURD1. E C

Lutlteri

.) forre de violon ql1 i n'a

gn une table , lequel fait tr' s-peu de brllÍt, d'oll ll1i

vient fon nomo

roye{

IOLO

&

lafigure

de cee in(–

tmment,

quí

efl: repr ' (em ' par

,el

pante pofiérieure,

( l

t !

r'eure .tan!

f

mblable

a(;

lle du violon )

PQ\