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C H I

CU.ffm.

X4

........

l dem•

3

2

...... ..

Accord de feconde.

4

Jdent.

2

.. .. ...

6

ldem.

2

·· ······

..

Accord de feconde

&

quinte•

2

•• •

o •• •

6

De triton.

4

6

Idem.

4

X .....

6

Idem.

.X4

6

ldem.

~

6

4

Idem.

'2

4

ldem.

2

••• -•• "

4 X

- · •• ·

ldem.

l.

o ••••• o

X 4 · · - ·" •

Idem.

2 ..... .

4

X., ...

ldem.

,. X 4

. . _. . • .

ldem.

?!'

ldern.

4

X ·- • • •

Triton avec tiercc mineure.

3 b .... .

~

· · • · · ·

Jdm•.

"

...... .

6 ..... .

4 .......

ld&m.

3 b - ... .

!t

X 4 · · · • · · ·

I dem,

&c.

b ,., ....

• X

2

"'

X4

X 2

1t

........

..z .

......

6

4

X

2

9

9

5

9

3

9

7

<)

.......

?

5

i

5

Seconde fuperflue .

ldem.

ldtm,

ldem .

Accord de neuviemc,

[dem,

ldtm.

Neu\'Íeme avec la fepti me.

Idun.

Quane ou oru.i me.

l.ltm,

Cluffw.

4

9

9

4

4

7

C H I

Quanc avec la neuvieme.

JJem.

Quarte

&

feptieme.

X

5

Accord de quinte fuperflue,

~

X .....

ldm.

X

5

9

X

5

9

7

9

7

X

5

ldem.

Idem.

Idem.

X

5

¡,

4

Quinte fuperfluc avec la quartc.

5

X

· • • · •

ldtm,

&c.

4 b ...•.

7

6

9

6

Septiem<:

&

fLxte.

euvieme

&

fi.xre.

Qu~lq~eS" au~eurs

avoicru introduir

l'ufa~e

de

couvnr d un rran tomes lt!s notes de ba!re qut

pal~

foient fous un mcm.: accord: c'eft ainú que les char·

mames cantates de M. de

lerambault

(onr chijfrüs;

n1ais cette invcnt.ion eroir

trop

ommode

~ourdu­

rer ; elle montroir auffi trop dairemenr

a

1

ceil tou·

tes les fyncopes d"harmonie.

Aujourd'hui, quand on loutienr le memc accord.

fur g¡mtrc di.lfúenres notes de baffe, ce Iom quauc

chiffres diíférens qu'on lcur fait poner; dc>ort<. que

l'accompagnareur induit en erreur,

ti:.

háte de

cb~cher l'accord meme qu

il

a

dO:j" Iom

fa main.lllaü

c'cft la mode en France de chargcr les baires d'une

confufion. de chi.lfres inuciles. On

chijfrt

tout, juf–

qu'atL"< accords les plus évidens ;

·lui qui mcr le

plus de clulfres cro1t étre le plus favam. Une batfe

ainfi hériífée de chiffres rriviaw< rebute l'ac, ompa–

gnatcur de les rcgarder,

&

fa ir fouvenr néghger les

chii!Tes

néce!raire~.

L'auteur doit fuppoft!r que l'a -

compagnareur lair les élémens de l'accompagne–

mcnr;

il

ne doir pas

chiffrerune.lixrc

{ur unem.:dian–

tc , une faull"e quinre ÍUr une note fenfiblc, une{¡

p–

tieme lur une dominante, ni d'aurres accorru de

cettc évidence,

a

moins qu'il ne loir queIlion d'...,_

noncer un changemenr de ton. Les chttfres ne

lo~r

fa irs que pour d.:terminer le choix de l'harmome

daos les cas dourcux. D u refie, c'dl tres-bten fa1r

d'avoir des ha!res

chiffrlu

expres pour

le>

úoli•n–

U faut que le> chill"rc> monrrcnr

a

ccux-ci l'applic.·

rion des re$les; pour les mairres,

il

ful!it

d'indi~er

les exceptwns.

M. Rarneau dans fa

di}Jmarion

fur

!tl

di/Ji'"""

m~rhod.e.s

J'aceon1pagntrnent,

a trouvt! un grand

o~

brc de d

urs dans les chiffres étabiJs.

lf

a

1t

\'OIT

qu'ils font uop

nombrcu~,

&

pourranr

onful!ir~ru.

obli:ur>, équivoqucs, qu'ils muhiplicnr inuulcmenl

le nombre des accord>,

&

qu'ils n' n montrcnr ea

aucunc maniere la liailon.

T ous ce>

d~..-faurs

vtennent d'avoir voulu np

ter les ch111Tcs au notes arbitraires de

Id

ball"c e

tinue, au licu de le> avoir appliquc·.

ímm~ra

em r.t

¡\

l'harmoníe fondamemale.

La

baíTe-conunu" {z,t

{dru

doure une panie de l'harmoníc,

m..!~

cel·e/-..Jr–

mome ell indcpend..nte

de;

not • de

.11e

!1

&

e •