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ZO L.

d'

n un

p

s

oil

~lle

el\

eo

t·~

11

o

ce,

&

1)

~lle

refiera vr;ai embl

bh:

j

r

(;

ute

e

e

rrieres.

C

D.'].

l

l

L

,

G

'$·

moj. )

com

úe

1

uce .

n

n_e

.au m•

1

de ceu

de

Llp

w

&

de

urott· ti

a

envt–

r on

1 0

licues de Ion

da midi

au

nord '·

&

l

de

hr

•e

d

lev nr 1u couch1nt .

L1

riviere de Gran le

ua \·erle

110rd-

A

au fu

-ou

ll .

(D.

J.

l

Z

LLERl ', (

Gio~.

mqtf. )

eh ce

u

d'

Allemagne_,

n

1

SuJ

e.

&

qui

d

nne ron nom

~ ~a

prtOCI–

Jl utt e

H

hen

Z>ll

rn. L' empereur Henrt

V.

le 6t

b

tr

l

fon recou r

'ft:tlie .

L3

principaut~

eft

born~e

p.n

le

duch~

de

W trcember , la principauté de . urr-

t

'rl

eP

1

let neurie d" · hiagen

&

la

b

ronnte de

W

II Jbo~r

;

lle a environ If licues de long

&

7

de

la r

re ·

le vottin:J e du

O

1nube en

f

rtilife le terroir.

L e

~rince

de

H

hen-Zollern font cacholiques &

c ll' n

>

llan

héré ltcaire de l'emp ire .

( D.

J. )

ZOL, OCK,

lt comt6 tlt,

(

Gfo~.

moti.)

comré de

J

hJute H ·m rie; il ell borne au nord par ceux de

H ev

z

&

Z Jbolez, au midi par ceu1 de Bath & de

Cz

ngrad,

a

u levant p r celui de Tarentale, &

a

u

c ouch ot par celui de

Pc!l . La

TeiOe le partage e.n

putie orient3 le

occidentale. Zolnodc ell la capa·

ta le.

( D.

J. )

ZoLNOCK, (

Giog. mod. )

vil le de la

h:~ute

Hon–

grie, cepita le du corneé de mlme norn, fur la dtoire

d e

1

Teille,

[on

confl uent avec l.t Z:lghva ,

a

!.O

Jieues au leva nt

de

Bode ,

&

a

2.-¡

a

u nord-efi de Co–

JoczJ: les

Tu res

&'en f".iifirent en

1

))4 ,

mais

les

Im–

p éria ux la Icor reprireot en

I6Ss.'

ú u¡g.

37· 42.

/11·

tit

4

.

n.

(D.

J.)

zoaoi, (

G~og .

IIIIC.)

il y avoir deux villes de ce

aom , l'une en · Cilicie fur les bords du Cydnus, l'au·

ere dans l'ile de Chypre. Ces deox villes, fuivanr un

grand nombre d'aoteurs, avoient écé fondées par ·

SoIon. quí écoic né daos la Cílicie. La ville qu'il

11 voít bitie daos cette proYince, quitra dans la fuire

le nom de fon fondaceur pour prendre celui de J,>om•

pée

qui l'avllit rétablíe. A l'égard de ceíle

~e

l'ile

de Chypre; Plutuque nou a confervé l' hifloire .de fa

fondation.

·Solon

étant pafl'é aupres

d'uñ

roi de Chy–

pre,

a~quit bienr~t

tant d'autorité.fur

f?~ ef~rí~,

qu'il ta1 perfuada d'abandonner la valle ou al faafoar

fgn féjour: l'affiete eri étoit

a

la vérité fort avanta–

ge ufe ; mais le terrein qui l'environnoit étoit ingrát

~

d lfn: ile. Le roi fuivic les avis de Solon,

&

b;ltit

daos une belle plaine

une

aouvelle ville auffi force qáe

ia

premiere, dont elle n'écoit pas éloignée' mais

~ea

u-

. coup plus g rande

&

plus commode pour la

fu~h(}an·

ce des habitans. O o accourut en foule de muces

J>arts pour la peuprcr:

&

il

y

vint fnr-tour un grand

nombre d' Athóniens, qui s'lcant

m~lés

avec

les an–

~iens,

perdirent dans leur commerce la polítefle de

lcur langage, & parlerent bientór comme des barba–

res: de la., le mor

~.~~..¡

...,.

qui eff leur nom . fue fub–

niroé· au

rnOt

~· 1~._,.¡

&

f•A.,al(ut

a

f

•1P.cl~

en

CJU'OD'

employoir aupara vant poat ·

'défi~ner '

ceux

qui par: .

Joient un mauvais langag

de la viennent Jc:s mots

.fot!ci{mt .

~•rb~ri(m~ .

(

D .

J.

)

'

.?ONA,

(

f?!og.

:tn~.)

ville

d~

la Thrace ch7z

l_e~

Ctconaens,

le Ion Ectenne le

G~ographe,

qua

cate

llécacée . Pomponius

M

da,

(.

JI.

c.

ij.

femble faire

d e

Zone

un prom·ontoire voifin de cel

Úi

de

Strrirmr.

Circa hebrum Cicontn: trans tundem dori{&os, Nbi Xer–

~671

copias

fiuu ,

qaía numero

m~IÍ

pottrtÍt",fPatio mtm·

fi~tn

ferrmt. Dtindt promontorirnn forrium,

&

quo

unenttm orphJa fiquuta narratur

~ti4m

nemora,

zo,

;,e .

Pline,

J.

(V.

c."' xj.

fait

de

~011~

une monra¡:ne

ce qui revient

ao

m

Eme,

mo11s Strrtflfll

&

L;on<~.

Hé rodote,

l. V /1. c. ljx.

piace la vifle de

9on11fur

J.e

rivage, auquel l'ancaeh mor

Dorifius

avoit donnt!

~(!

nom,

&

a

quelqae dillaoce di! ·t•embouchure de

I'Hebre. Tour cela vc:ot dire que le Ílom de

Zon11

eu

4ont

écoit commun

a

la ville

&

au·

promontoité

fur lequel

elle

ell blrie •

·

'

Je ne fai mt!me, élit

~~

Mllrtiniere,

6

quei<Jo'un

n'a point fait

d~ 4cJ1~s

une ile', paree que

1

"le prorrion–

~ire

ou elle le trouvoit éroir une

efp·e~e

de pe-nla–

fule,

&

qo'atfez fouvenr lc!s anciens onr confondu

les 11es ave

e

les pénin(ules.

·

·

' La ville de

~tm•

ell célebre

~ans

Je-s poeres:

ils

difent qu'il

y

avdit daos

l'e voifioage des hl!tres

qu'Orphée avoít forcés,

pat'

la douceor de foo chane

eJe le fúivre depuis la Pierie

jul'qnes-1~.

(O. '}.)

· ZONCHIO,

r:ap de,

(

Glflg. moti.}

cap dé la·

Mo–

r&,

ptes

\iu·

gol fé

de

rn~·me

norri; quelques favans

penfent ·

qiJO c'cft

lo

Corypluifium

de l?tolomée,

l.

,. •

1

'

,

:

!

zo

QIIÍIII]IIt

tt'11~11t C~IU71

7.

%

<frlllrlllll •1111

terfl/it

Srmptr folt

rtl mr ,

&

torrit/11 {emptr

•'*

ÍfW

f)u11m

cirt:ll.'fl. txlrtm.t

tlf'lltr•I'!VIIf.

t

firllfl_hlr,

l:ltruitll

gla~'tt

'onrrtl4

att¡ur

' "'

rtb

s

lll'rll,

H

r

iJJttr

mt:dia1117tJt

du.e

tiiiTI•IibMS

.t_tru

Munrrt

cqn"if-1

ditJNm .

Virg. /.

Gttrl·

• ·

au.

La

zont

rorride ell une bande ou parrie

de 1

fiJr,.

f:rce de la terre

rerm i n~e

par les deu1e troplques,

partagée en deux parríe c!gales par

l'dquar~or,

1'17.

TllOPIQ.YJ

&

EqUATIUit. •

La large

ur de certe bande ert de

el

~S'.

faeotr

2.3

degrés

2.9

minutes d'un cOté de l'équateur,

&

IJ

deg rés

29

minares

de

)'entre, de forre qu'elle

f'ft

d1•

vi fée en deu1 pa.rries

~gales

par l'équateur autrcment

ap

pell

é la

IÍf'18.

Le foleíl ne

forr jamli de delfus

la

g.ol!

t

rorrade,

&

chlque

j

ur de t'anoée il

y

a

tles

pe

uple

s fous cecee

zont

auxquels

il

eft

vertic:~l .

Les

anciens croy•Jienr que la

zo111

torride

~toit

In•

habitée.

Voytz

ToRlllDI.

LeS

ZO'fts

tempérée~

lont dellX bandet de

la

(urra.

ce de la retre renninées chacu11e par

un

tropiqoe

par un cercle polaire. Leur

lar~ur

i

l'une

&

~

l'au–

tre ell d

e

43

de~rés

2

minutes .

Pqy.

TEMPhU! E.

I'OJ.

Cnc.tl

POLAIIU!: .

Le

foleil ne ' pafl e j.tm4t

pard

t~

fds ces

zo,ui;

nuis il. s'en approche plus ou moint

daos fon mou vement .

·

Les

zonts

glacées foor

1~!

fegmen!

la

furfe~

c;le la terre,

cermin~s

l'un par le cercle poi ire ar

que, l'aurre p:1r le cercle

p

!aire

antarétit]U ~ .

l eur

largeur

a

chacuoe efl

de

4 6 f .

5

'.

VtJ.YtZ

A RCfiQ..UJ

f1

AN TARCTIQ!JI,

Voyez

auiTI GLACl .

Lt:s

zonrs'

fonr"

di ff¿reu ·:~e~

p r

U•l

g rande qua.,.

tité ·de

ph~nomenes .

r

0 •

Dan' la

ZDlft

rorri e le ro.

1eil palfe ao zéi1ith deux

fó1s

l'année. Qe

m~me

deQJ

fois l'année le loleil féloigne

de

l't?quateur

d'urtt

quanticé

~ga le, ~

23

deg ré~

19

mít:~ote.s

environ.

2.;

0

Dms roas·

les

'''eu~

qui font"dans

le.~t

zo11n

rtom•

¡:>érées

&

daos les

~onts

giJcées, la hauteur

dtJ

polt

furpafl e roujburs la ¡>lüs grande dillance du loleil

l

l,'équaceur; c'e(l pourquot les habitáns de

"ces

~o"''

n'ont' jamais le foleil

a

leur

z~nlth.

5i on

comp.~

res ha!ilteurs méridiennes c;lu fofeil ob(ervées le

mt!me

joor' d

ns

deux lieux <Juelcon9uea de cet

zo11t1,

celui

oi't

la ll:Juteur méridienne fera la

ph~s

grande,

fen le

plus méridional .

'

Dans les

zqnes

tel1)pérées le f<?leil pafle roojoors

deuoos l'horifon.

a

caufe que fa diílanc:e

áo

pole er–

cede t0ujours la haureur du pole;

&

ctans

cous les

l"ieux de

~es

zo11ts,

excepté fou

l'équneor, les joors

arrificiels fon't inc!'gaqx,

&

cela d'aurant plus qae c:er

lieux font plus voifins des

~~ts 'lac~es.

·

Vf!Jti

JeuRI.

·

1

4°.

·v ..

ns

lea lieux qoi féparenr les

zonts

ttmph~es

c;l':tveé fes

zon~~

gl,cc!'es, c'éfl-3-dire foús. les cercles

polaires, la hauteur

du

pote ell égale

a

la dilhnc:e

qq

roleil au pole lorfq\le le foleil ell dans le

riopi~

qge d'éré.

D :mc

les

peuP.Ie

! qui habicenr ces tíeur,

oient une /ois l'an

née "le' f

dleil achever fa

r~v'olu·

rión fans palfer fous l'horifon.

s

11 •

Daos

tous

f~,

heux

des

zo•n

glac~es,

la

haq–

~eur

du 'pote ell Jlllus grande que lll ' momdre dlllJnce

dn·

foleil au poté.

O

JllC

'pendanc plufieurs jours

diíhnce do foleil au pole elt moindre que la hallteur

do pble,

&

ifar

canf~quent

le fol·eil doit

~tre

pen•

d.tnt' ce

c~ms-hl

non feul ement fans fe coucher,

maít

f'aos

wucher l'horifon. Lorfqu'enfuite le foleil vie!lt

a

s'éloigner

du

pole d' orle plus grande

~ i flaoce

que

celle qui merare la haureur cfu pole, alon il s'éleve

&

[e couche tous le!

jour~

comme

cJans

les aocres

zonu.

.

"Les

académiciens qui, par ordre du roí, onr

ét!

mefurer le de'gré du

m~ridien

daos la

zont

froide fep-

~!J~(f~ale ~

·

~~~r d~~f~i~~r

la

~~are ~e

Ja

r~~~ ,

'