Z I 1\'
ZJPPQI$, -( (iéqg.
a~¡c. )
yille de
fa
GalHée, &
da n~
une fjcuario1i avant<Jgeuíe ql)i -¡a fa iíoit regarder
comme la cié de cette p,rovinc.e. Cette ville
~coit
é.,.
Ioign~~
de cinq
paraíange~ c.j~
1) bériad.e; .Jes Rabins
h
no
m
!llene
Srphor.a,,
&
Jo)eph
S'epiJoris .
P.~yez
S¡¡:-
fHOR J~ .
•
-
.
.. J' ajourer:u feule.m.enr que lot:J que
le~
Roma1.ns~or
ter~nr
la
gu.err~
dans 1? Judée, elle f
ot la dermere
de~
. villes
d~ C~tt_e
prov ince q,ui
fe rendir
a
Titps .
J_,e P. 1:-lardouin rapp_orte
de~
méJai.l!es ¡je
cec~e
vill,e ,_
frdíH' ~!:'<
fous Uomitien
&
fous T ra1an,
¡dv.ecce mo_t
¡qn~on~~mN,
Sephormprmn.
Dan~
la
fuiteOn ap-
pella cen e · vil le
{Jioc~(arée .
'
,
.
ZIRA l
1
NL
qs ,
t
Gtog . rnot/.
J
peopl.esde
1
emp1re
rofJieo . lls occo penc uu pays c
onlidérable de
m~me
oom,
aq
couch~nt
de la
proyil)c~
de Permie,
&
a
u
. oord-ooetl de cell,e de Yiarka.
~e
pt'llple a été long,
tems
indépen~ant .
m,ais il
el}_
auio,urd'hui tribucaire
do czar,
~
)1a_bic.e dal)s un.e
tor~c
a laquelle on.
don~
oe cept cinquante licues de longueur. Les
Ztranm
~lllt
des hamca)1x
~
des villages dans
~ette for~r.
J!s
o'ont ppur _le ci.vil ni gquverneurs , ni va"ivodes
¡
rnais ils fonc pour -te Ípiricoel
d~ l'~gljre
grecq,ue.
On
~~~ ~rQit
qrigiriaires des fronJieres de la
l,.ivoni~.
lis
fublillenr en partie par le moyen
pe
l'agri
c_ulcur~,en
partie par ie cornmerce ¡:fes pellererics
grií.es.
; ZIRCI:-JNl'fZERSÉE,
(
(ieog. mo¡/.
J
-la
e
d'
Allemarrne daos la bafle Caroiole, vers les confins de Win–
diíchcnarck ,
&
au nord
d~
la forl!t
app.~ llée
commlJ–
némenc
brpqmerwalrft.
<;:e
. 1~
e eíl fi
r7~ar9uable,
¡qu'il mérice que nous en rtnon$ Ja get5:pppon
~e~
Tranf
philof. n°.
í4· 109 .
19t.
,'· Qn
l'appene
~irchnitzrr/ttJ,
de
ZirchnJtz,
hoor..
g_ade d'environ
2.00
mailons, qui
dl
lür fes bords •.
~e
la e a pres !Je
~eux
milles d' Allemagoe de lon–
gueur,
&
une de largeur.
11
eíl environnc! par-cout
¡(le
QlOntagl'!e~ , ~
n'a a9cun écouJemenc. En J uin,
]Otllet &
quelquefoi~ jufqu'~n
Aoílt, l'eau fe perd
1ous t
er,re,
~on-fe¡:¡lement
par la fil rr'ation, n;¡ais
~~~-~ore
e.ri(e retjranc fous rerr,e par de grands crous
q .ui f
ol'!tau fond: Je
p~u
qu'il en refle tlans la partie
' · qui ell pleil)e de rochers, s'évapore; mais en Oéto–
bre & Novembre l'eav reviene communément ( quoi–
que le cems n'eo íoic pas fixe l
&
recommenc~
a
cou–
vrir le .terrein. Ce recour ell prompt,
&
l'ea
u monrte par les trous avee tan e de force, · qu'elle s
'élao.cehors de ter r
e dela h.ipteor de ,quetques piés.
Les
c~:qus
fq.nct!n forrne de bafJins de largeur ou
de profqnde
ur dlff¿reoces, depui.s vjng t juf4u!a Jrente
coudées de largeur,
~
<khuic juíqu'a quinzc de pro·
fond_e¡¡r . .;}u
fé>ncJ de; ces crous il y
et~
a
d'aurre~
o¡)
]'e<lu
&
les poiffons fe retiren e, quand le lae fe perd;
!("es· crqus oe Í<>nt pas· daos· m¡e c.erre molle , rpais
!("Ommunément
d:)n~
le roe fo lide.
' Le lac éranc ainú plein
&l
a
· fec rous les aRs, ferr
aux habicans
a
plufi~urs
ufage$.
Prem ! éremen~
quand
il ell plein d'e:¡u, i.l
atrir~ plufi~urs
. forres d'oies, de
canards fauv¡¡ges.
~
:¡urres oiíeaux
aqu.ati_qqe~•qui
font
un forc qon n¡·dnger .
~~.
SitOe que le lae e1l vuide,
les gens d4 pays
~oupent
le$ rofeaux
&
les herbes
po'or faire
q~
la
litier~
a
leurs belliaux .
3'·
ll efl en–
tiérement fec yingr JQurs apres,
&
ils y recueillent
beaucoup de foin .
4!-'.
Quand le foiQ eft en levé
1
il~
;y
Cement du millet, qui comm!lnémenr a le tems de
md rir.
sY.
ll s:y
~rouve b~¡¡ucoup
de gibier
¡
car il
y
viene Jes bois
&
dt;:s mqnqgnes voilines des
"lié~
~res
, des renards , de1 daims , des
our~,
des fan–
g lie rs
&,;.
a9ffi· t~t
que l'eau efl écoulc!e . .
6~.
Quanq
l e
la e etl plell! , on peut
y
pCcher.
7•.
Tour le
tem que !'ea9 s'éco¡¡le , on
y
prend heaucóup qe
poifl ons
qu~:
I'Qil
a~trape
dans des
folles
&
dans les
lieux o!) les trpus
'1!!
(or¡~
P<lS
aflez gr:Jnds pour qq'il$
puillent
y
pa{ler.
Enfjn qpand
le~
eaux
reviennen~,
f:lles attireot une
forre de canarqs qui le nourill"nc fous :rerre
&
qui,
quand ih en íqnent, !lagent afle-z bien,
mai~
ils fonc
aveugles
&
n'ont préfque poinc de plumes. lis voienc
bienc6c apres qu'ils {onc expqfés
a
la lomiere.
&
en
peu de
~ems
ils acquierent des plumes; ils rellem–
blent aux
c~nards
fq¡:¡vage$, (onc d'un tres-bon goílr
&
faciles
a
ámaper . On fuppofe que la
cauf~
, ou
plut(lc la
r~jfqn
de tous ces
ph~nqmene~ furpren~ns,
"ienc
d'u~ la~
(oucerrein qui ell au-deffous de celui–
ci, av_ec lequel il commqnique par le$ clitféreQs crous
done
J'~i
parlé.
•
.
·
1!
y
l!
4!l
~u
plufieurs
!:te~
fous les bords de la mon–
~agne
Javornick ; l!'ais'
~ont
la·
Íurfª~e
eft
P,IU~ haut~
flUe celle du lac
Zrrchnrtz.
Ce lac plus haut efl peut-
,
\
•
~
•
...
•
•
•
•
1
•
ZIR
!ere [Qrmé par qtrelqu es u.nes des rivieres qui" dans ce
pays
fe
perd ent lous ter re. Quand il pleu , Íllr-tout
par c;le"s
o.rages fubits. l'eatr re précipice avec beao–
COI,lp
d,
violen.cedans les lfallt!es profondes, dan$
LefqoeUe
s font les.canaux de . ces petirJ:s ri.vLer,es_; de.
force que l'eau érant augmentée daos ce
la
e par l'.arri–
yée fu-bite des pluies eh plus grande quantitc! qulil ne
peu,t .en
Yui(l ~r,
il enfie fur-le7cha!11p; mais _crou11ant
plulieJ,Jrs rrous ou cavernes daos
la r'no¡uagne ,
plus
~aut
que n'e_ll fa {urface ordinaire';
H
.fe .d4gorge
par~
la dans le lac fouierrei.n qui e!l fous celoi de
Zirch
tlitz.,
dans
!equ~l
l'eau
mon.repar les différens cro-us
ou follesqui forit---au fo
nd , ainfi
qpe
par
_l~s
paflage
1
appare.nsqui font (ur )a terre. (
Le 'hevalter
DE
]-4V- ,
~OVRT.)
,
.
.
ZIRICSÉE
ou
ZIRlC-SÉE,
(
Giog.
•otl.)
ville
d es
,P:.t ys-bas , daos la· prpvif!Ce c¡le Zélande ,
~ ~a
pitale de l' i te de Schowen,
a
f<!pt
li~ues
a
u fud.uue(l
de la Orille. F.:ll.e ell jolie, bien
p~.llplée ~ marc~ao
....
de, quoique foQ porc air
~ré.
combl~
par les Cables ,
J.,es
écats générayx Qnt pris cette
vill~
fur les
fi:fpa,..
gnols en
IS7V,
&
l'ol)t mi fe en bon
~cae
de détenfe.
Aval).t la rév ol ution
arri~ée
dans la religion du pays.
. il y íJ )'Oit
a
,Piricf:.,él!
fix
maifons
religieuf~s,
Un Oé•
~uinage ,
&.
les refles .d'une commanderie
ele
Temr
pl
iers .~o,g.
2.1. 2.4._
lutit.
s
1.
36.
·
A.ma,nd de
Ziricúe
,,
a111fi nom'mé du lieu de fa naif–
f¡¡
nce,exer~a
la d ig nité de provincial de l'ordre·
d~
S.
Fran~oi s
daos tes Pays-bas,
&,.
mourut en
ISH•
~l
a compoíé en larin une cb;onique eA fix livres,
&
l-)U~Jqo~s
quyrages
~.n~olpgiques
done on ne coonoit
plus q ne les rieres.-
'
f-emniu.r
(
Lrev iuu ) naquir
~tn
1
e¡
O)
i\
~iriczt6, ,
m) il praciqua la
m~decine;
mais s'é,cant fair precre
apr~s
la more de fa
femme,
il devi ne chanoine ele
cene vil le,
&
y
mourur en
IS68.
Son ouvrage in–
titulé,
Je
tJ(CIIItis natur.e
miracu./Ú,
a été imprimé
nombre de fois.
La
precniere éd1tion faite
a
Anveis
•en 1))9
in-8°.
r1e contiene que deux
livre~,
Qlilis 1¡¡
feconde cht'Z Planrin
1564
in-
8°. cqntient quaere
li.–
yres,
&
l'aureur fe
propoCoi~
d'ajoucer encore deux
¡lUCres livres
a
CCS quatre.
Pec*itu
(
P lerre) né
a
.Zir~c:ú~
en 1S"2.9, parvint
par
Io n
fl)érire
a
la charge de confeiller au confeil
~e Malir¡e~, o~
il mourút en rs 89 . Ses écrics de ju·
rjíprud ence onr été recueillis
&
101p.rimés en('emble
·a
la
l?~ ye
en
164:7.
On etlime affez fon rra ité
d,
!eflan,entis
conju~tlfJJ
,
&
celui
de
jure
Jif/.endi .
Son
comm~nt?ire
atl
tit.
d.
Naut.e,
&c.
a écé imprimé
a
A.mtlerdam en
I66S in-8°.
avec des notes
&
des ad–
dirious cie Vinl)ius.
.
1iteJ/itfS
(
Regnier) né
a
Ziriczée,
&
more
a
Arn–
flerdam en
I6r
8,
~
traduit J'icalletil en lacio la def.
cription des Pays-has, faite par Gqichardin .
(D.].)
~I~IPAVA,
( Géog.
moti. )
ville de la D.1ce,
fe~
Io n Pcolomée,
l. 11/. ch . viij.
Le npm moderne
el}:
ScareJlet1 ,
fi oous
~~~
croyons Lazius •
(
D.
J.)
~IRON4,
(
Géof.
moti.
J
perite ile du golphe d!'
Venife, fur la córe de la Dalmatie·,
&
d~
la dépen–
j:l~rtce ·
dtt
come~
de Traw.
(D.
J.)
~IS
qu
~lt;,
(Géog . moil.)
moncagne d'Afrique,
dans la Barbarie ·, ao
roydurne de Fez ; c'e!l une
chafoe de fl)qnragnes froides
&
rudes, qui prennent
leur nom de la rivierc de Z iz qui en fort,
&
qui féT
pare
l¡:!
royaur¡1e de fez di
c~lui
de Trémeceli.
(D.].)
~ITTAU, (G~of.
moti. )
yille dt.Allemagne, dans
la haute
J._
ufa ce, lur la Neifs, aux
fronrieres de
I~J.·
Boheme,
a
quarre
li~ues
au-deffus de Gorlicz.
W
en- ·
cesla$ la fir encourer pe murailles en
I?-'5·
Elle efl
~ujoprd'hui
l'ujecre
~
l!éleé.leur de Saxe, mais elle a _
~pro1-1vé
en
17)7
des propres alliés
<k
ce prince,
cous les brigandages
&
touces
les horreurs de la
guerre : Qu'auroir fa it de-plqs le
génér.alD ·ltln,
li
cecee v!lle
die
appartenu au roi de
rrulle ?Long ..
32·
47 ·
/atrt .
~r.
13 -
( D. ]. )
z,rr~o.
·e
Géo.g.
flJOd. )
ville d'AIIemagne dans IR
haute Lo íace, lot' la
~ei Í$,
aux fromieres•de la Bo–
heme
a
qu aere lieues au-dellus de ·Gorlitz . Wences–
li!s, roí de &ohe rne,
la
fit
enrourer de morailles
e~
IHS ·
Lonr.
32. .
2.8.
lt~tit.
so.
B·
(D.
.
J . )
. .
~IZAN
LA,
_f.
f. (
Hijl .
n4t. Bot. )
genre dt:: plante
dllbnét dQ
!olrum,
yvroye, _& doca voici les carac–
teres .
, Il pr
oduit des fle;up miles
&
femelles fór la
m~me
planee;
l.esflwrs males n'.ont poi oc de calice;
111
f}t'ur ef
l uncoyau bivalve compofé de deux feoille s
égal~~ ~ poíq
_r.ue~
t
l~n.~
barbt;
~
qui
s'~rnelqppt;pt
.l'un c:;
·
·
l'autr<: