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18~
Matechal ordonna qu'on
y
laiffat
une
¡c.-
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bonne partie de l'artillerie,
&
qu'on
i737~
n'en
prit
qu'autant qu'on
eh
pourroit
mener commoc.lément. Le Prínte de
Heffe au lieü de fuivre
cét
ordre ,
n'y
laiífa
que fort
peu d'
artillerie
~
&
ce:.
pendant des la feconde ol:l rro1Geme
marche il
rt'y
eut plus
moyen de
U
faire avancet. Plus d'un quart de cette
arrilleríe;
a
peine fottie
du
camp,
refrá
fur la plaee ;
&
qpelquefoís l'arriere~
garde étoit obligée de s'arréter vingt-
quatre
heures
avant
qu'
on
pfu
envoyer
du
nouveau camp
les baeufs pout ra..,¡
mener le canon.
C'efi-la ce qui obligea Monfieut
le
Maréchal
a
faire toníl:ruire für le Bog
le
fort
Saint André ,
& .
d'
envoyer
a
Otfchakow une tres-grande
partie
de
l'
arrillerie a:vec la florte. Cela
fut
cauf
e
que par la fuire on n'eut plus la moin-·
dre
confiance
dar1s
le Prince de Heífe..;
Hombourg,
&
qu'
on a difcontinué de
lui donner des commandemens de con–
féquence. Si les Ruífes avoient eu affaire
a
un ennemi qui eut eu quelque intel–
Hgence , ils auroient perdu au moins
h:s
deux tiers de leur artillerie
j
car
01
~
Tonte
fe;
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