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1
.1$.
12
1,,-
rence d'amitié ,
&
les
chofes en étoient
.....,ai;¡¡,.,....!illái.i.olñwf.,.,_.,,,
---. •
meme
venues au point , que d ans le~
1.7360
rencontres ou
il
ne pouvoit abfolument
fe difpenfer , de lui faire des
politeíles ~··
·
on voyoit
a
fon air qu'elles
étoient
forcées.
Quoique
1\t1oniieur de
Biror¡
eut envoyé
la
let~re du Prince de Heífe
au Comte de Munich , elle ne laiífcl
pas de faire quelque
irnµreffion
a
la
Cour
&
d4ns
!e Minifrere ,
ou
le l\1a-
réchal
ne manquoit pas d'ennemis;
on
y
réfolut
d'examjner
fa
conduite
dan$
un
conCeil
de guerre dont le
Maréchal
de Lafcy devoü etre le Préíident.
Mais
le Comte ayam
jufl:ifié
fa
conduite ,
!'affaire en reíla
la.
Par
un
bonheur
fingulier
po.urMoníieur de
Munich ,
fon
plus
grand ennemi ,
le
Comte
de
Lrewenwolde , Gr~nd ..-
f.
cuyer , étoit
mort
vers
la fin de
l'a,nnée
17
35.
Sans
cela il n'en auroit pas
été
quitte
a
{i
bon marché.
MonGeur de
Munich
fit
pe.ndant l'hi~
ver
un voyage
a
Petersbourg
~
ou
il
trouva mayen de rétablir fon crédit
qui
étoit
bien diminué pendant
fon
ab–
fence.
Il
fut
íi
bien
s'excufer
devane
l'Impérarrice,
que cette
Pi;inceífe ,
loin
p
ij