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J)U

C"Hl!'V.

G1lA'!flHSSON.

-s,,

;forre .patiemment; la ¡parience e(!; une verw

-qui ne marche jamais .feule. Je ne peníe pas

·comme lui , que vous arez eu tort

de

von–

·loir ,paniciper au fcellé.

11

Ce

rronape ., vous

Je deviez;

&

je Cuis porté

a

croire qu'une

.femme auffi prudente que

VOlJS,

n'a pu s'ou–

rblier dans la forme. Pour ·bien juger de

la

.conduite d'aurrui, il

faut

e&re capable d'en–

~rer

dans fa füuari@n,

&

de

fe

mettre comme

.a

fa

place.

O mon frere

!

s'écrierenr en méme temps

les deux freurs

>

avec

un

melange

d'

emban;as

&

d'admirarion.

Il

les pria d'erre rranquilles

·Un momeµ.r.

T

ous , autant que nous Í©m–

.mes ,

ajouta-r~il

, n'avons..,nous pas

befoin

.el'

un

peu d'indulgence? Elle confelfe aujow:–

<i'hu.¡, que ne fachant pas

U'OP

bien files ao–

cufations de leur pere n'avoienr pas quelque

pare

a

cet avis , elles

~n

furent

mortifiées

.

:Ceeendant , quel moyen de s'en

offenf.er

,

loríqu'elles voyoient

tarar

de pati

ence & d

e

.dGmceur dans un frere

1

beal!lconp plus inté–

f'effé qu'elles

a

cette fcene

?

Il

prit occafion

.de l'éloignement du clíner, pour demandec

.du chocolar:

&

s'adreffant

a

Mad.

Oldham~

il

lui ditcivilemenr, qu'elle favoitfansdoure.,

~u

toutes ces provifions éroient plaoées. Elle

J.~p0ndit

qu'elle avoir remis tes clefs.

MH~

Caroline les offrir

a

foFl

frere, qui donna

fes

.ordres

a

une

femme-de~chambre,

en prianc

Mad. Oldham d'avoir

la

bonté

de

lui {ervir

.de gttide.

Les deU:X freurs

comprirent

~fément

qu.e