DU
CHJ;V•
.
GRANDJ.SSON.
IH
J'
approuve ta ré(olution ou vous étes
d~
ne jamais l'époufer.
1.
.
Miladi L .....
Sans attendre l'opin.ion de
111011
frere, la mienne eíl: que M. Ander–
fon en ufe indignement, lorfqu'il prétend '
vous lier par une eromeífe .inégale; e'eff–
a'-di.i:e une promeffe· qu'it n'a point accom–
pag1~ée
de
la
í
ienne. Je ne puis.croire, Char–
lbtre, qu'elle
fo.irun llen pou
r yons.. Et
qu~
penfer du vil
anifice, qui
hu
a
fa.iremployet
la main d'autrui pour vous écr
ire,au rifque
de vous perdre de réfutation ,
&
contre·
un engage1nent forme au fecret? Que je.
fia''.rois cer homme-la? Qu'en dites-vous,,.
mi(s Byron?
Mifs Byrrm.
Je répondl-oís mal'a
fa
con–
flance de certe Ghere aífemblée ,
íi
je ne·
nafardois pas mon fentiment' lorfq,µ'on me·
fair l'honneur de le demander. Il
me fem–ble, ri1ifs Grandiffon, q!J'il n'y a
jama.is·eU entre vous
&
k capitaine A
nderforrau.cune affeétion vive, aucune fympathie..
&
caraét'ere ;
{i
je
puis
employer .cetce. ex-
12reffion.
Sir ·Cit.
Exceliente queffion...
Mifs Grand:
Non ; je croi
s que d,..un
ceité
c~mme
de l'autre, il· n'y a
jama.isrien eu
de cetre nature. Je vous
ai
f
ait encendre fes
motifs
&
les miens. Cbaque leme, que
j'aí1
res:ue
de
lbi m'a confirmé ce- que je vous
ai die de fes vues,
aujourd'hui fon
pr.inci~p·al: motif
11"
pour me
ten.irHee par une pro•
meífe,, efl; touj,ours: t
:ehü de l'intéret. Je..ne.:
.,
~5)