DU
CHEV,
GRANDH. !ON,
t.
-ifi
bien que vous n'etes portée
a
favorifef.
áucun des trois
?
·
Si vous perfiíl:ez dans le deífein de
partir~
&
qú'il n'y ait rien de changé au temps de
votre départ , j'irai vous fouhaiter un heu–
reux voyage ,
&
beaucoup de plaifir dans
la
ville , mais fur-tout d en revenir avec
un
cceur Ji'bre. Ma freur ,
dont
la
Canté
continúe--d~baiíifer
, ·Érouvera bon que
je
Ja,'
quine -f'.oiu' f un ldevoir
dont
je
ne
veme·
P!ls erre diíEenCée..Ne pen{ez r>oint
a
venir
ici ,
-vous íe'riez rrop :affligée
de-
voir cette
pauvre diere
.fillé
d~ns
l'
état ou elle eff
aélueJlemenr. Je fais combien vous éres [en–
íible aux infirmités de vos.amis, lorfque vous'
1-i.'
avetpas
-l.'
eí
2érnnce d€ les guérir;
&
t¿ute
vorre famille
faifa.nrdépendrg fon bouhew;,
de vorre,.
con
re1~remenr,
.il_y
ªl!.roi~ ?.~ l~
truanré
;e
vous
áonn~
qlieTqtie
fujet
él'e
trifreffe.
-
r
••
T
M.
Greville
,1.0US
quitte
a
ce' momenr.
Il
étoit venu, nous forpr:endre
a
diner ;
il
n'a parlé que ·de vous;
&
fes menaces ,
comme je les
ai
?10tnmées
a lui-meme, n'
OQ.t.
pas
.ceff~
fo.r-vorre départ
·po.urla~viU.e.
A
pre~
le
díner, il nousa fait la l
eé'rnre d'une lerrre
de mila<l.i'Trampton , qui vous regardepref–
qu'uniquemenr.
11
nous a lu auffi guelques
endroits d'une copie de
fa
réponfe, dans
l'opinion, je m 'imagine, que
je
lui pro–
poferois de me la húífer. C'eíl: un homme
fort
vain , cornrne vous favez ,
&
qui fait–
un cas extreme de tour ce qu'il écrit. Je ·
A
2