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«
eJfficicrs
eurent
as'ez d'i'!ftuence sur lcs
soldat$
,,
pour leur faire faite plusiettrs evolutions..
...
~'
Pour remplacer le
regiment de Lyonnois;
"
f
administration requit
400
hommes du
rigi–
"
ment d'Ernest
,
en garnison
a
.A1.arseille
,
tt
'' Io
o
hommes de la garde nationale de cettc
J-iLle,
~'
de venir au secours d' Aix. La pai1e al!oi1
se
reta·
.
~'
blir, si
M.
Pasch.dis qui avoit p1onond,
a
la
((
clotllre du parlement
'
un
discoars insultant
a
«
la -nation
,
n'avoit
he
amid
et traduit
en
"
prison. Le peuple vouloit avoir justice des
ma•
"
Mettvres de ces ennemis
;
il dcmandoit sa tete.
''
La
garde de la prison h oit confiee aux gardes
''
nationales de Mar;sei!Les et d'Aix
,
et
au
<<
detu.chement du
re~imem
d'
Ernest : voila quelle
''
hoit notre situation hier,
.ii
!wit
heures du ma•
"
tin
;
depuis
,
elle
est
a'evenue plus
affeeuse;
"'
lcs eris qui dttmanJoient
la
tete de
M. Pasclzalis
"'
redoublerent. Les efforts que firent !es adminis–
«
trauurs
,
ne servirent qu'
d
!es rendre suspects
''
au pwple
,
que
l~s
ofjiciers municipaux
en
"
cc/iarpe
ne
pitrent £Ontenir•...
»
"
!11M.
Paschalis
,
Laroque et Guiram
ant
,,
he pendus
a
des arbreJ...... Jamais simation
''
ne
fut
plus terrible que
cel/e
des administrateurs....
''
La
garde natiollate
de
Marseit/e
a
be reqrtise
de
partir
,