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( 240 )

«

eJfficicrs

eurent

as'ez d'i'!ftuence sur lcs

soldat$

,,

pour leur faire faite plusiettrs evolutions..

...

~'

Pour remplacer le

regiment de Lyonnois;

"

f

administration requit

400

hommes du

rigi–

"

ment d'Ernest

,

en garnison

a

.A1.arseille

,

tt

'' Io

o

hommes de la garde nationale de cettc

J-iLle,

~'

de venir au secours d' Aix. La pai1e al!oi1

se

reta·

.

~'

blir, si

M.

Pasch.dis qui avoit p1onond,

a

la

((

clotllre du parlement

'

un

discoars insultant

a

«

la -nation

,

n'avoit

he

amid

et traduit

en

"

prison. Le peuple vouloit avoir justice des

ma•

"

Mettvres de ces ennemis

;

il dcmandoit sa tete.

''

La

garde de la prison h oit confiee aux gardes

''

nationales de Mar;sei!Les et d'Aix

,

et

au

<<

detu.chement du

re~imem

d'

Ernest : voila quelle

''

hoit notre situation hier,

.ii

!wit

heures du ma•

"

tin

;

depuis

,

elle

est

a'evenue plus

affeeuse;

"'

lcs eris qui dttmanJoient

la

tete de

M. Pasclzalis

"'

redoublerent. Les efforts que firent !es adminis–

«

trauurs

,

ne servirent qu'

d

!es rendre suspects

''

au pwple

,

que

l~s

ofjiciers municipaux

en

"

cc/iarpe

ne

pitrent £Ontenir•...

»

"

!11M.

Paschalis

,

Laroque et Guiram

ant

,,

he pendus

a

des arbreJ...... Jamais simation

''

ne

fut

plus terrible que

cel/e

des administrateurs....

''

La

garde natiollate

de

Marseit/e

a

be reqrtise

de

partir

,