( 2
39 )
, «
rermirem
avec
·
tes officiirs
du
rlgiment
de
Lyon=
'fi
nois, dans
un
caf'e ,
Jans la soirefe du
lo;
_,,
des diputis ·des dmx clubs
reur1is-,
passant devanl
"
ci·cafl,
fur1mt
huis
~
attaqucs,
et
quelques-zws
ie
b!tsses•a coup de pistolet; 1uuune. blessu-re n'est
'4
dan
gereuse••
..
A
ussi-tot les corps adminis!ra-–
"
tifs
se
rassemblermt,
et se
riunirmt
a
la muni-
4<
crpaliti; J'autres deputes parcour.urent La ville .
«
pour
'voir ce qui se passoit, et m informerent
«
l'
administration
du
departement.
• . •. •
Qwurt.
o
o.ffi-ciers de Lyonnois furent arretis,
tt
conduits
""
a
la maison comn'zune; aussi-tot
l'
administration.
«fut instmite que d'mures· of/iciers se rmdoient
'<
au quarrier,
/aisoient
prendre Les armes au
rlgi–
«
men~
,
et qu'ils
se proposoient
de
marclz:r contre
"
thotel
commrm pour en arracher lmrs c£ma–
~
rades
,
qui
y
eroient detenus.
Le major
du
~
regiment et le qztanier-ma£tre
,
taus ·de!x
conntt-s
''
par
leur
patriotisme' se
rendirent
a
la
muni–
«
cipaliti pour concerter les mesurls qu'il
y
auroit
#<
d
preTJ.dre..
....
L'
administration
requit
le
de~
"
part
immcdia.t
du regiment
'
ce qui
fiu
execzul ;
f<
ii
se rmdit dans dijfhmtes garnisons voisims.....
«
.Notts deyons des temoignages
lzonorabl~s
v.u;r
~
grtnsdiers qui rifus"ereru de marchzr comre la
({
mlliJOn
conz~mtne ;
(
Oll
ap17fartdit
)
c'est
a
leur
«
firmet~
que
la ville doit son safut
,
car
les