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[ 74]

o trage de

cette assembl 'e,

qui

travailI

ans r lache

a

porter par-tout 1 économíe ' '

snpprirrier toutes les dépenses du fisc ,

qui

e sont pas justes et nécessaires. Mais il

n'en est pas moins vrai que ces prodigalités

journalieres

du

gouvernement

étant

retran-–

- hées, il en résultera momentanément dans

les

villes

011

se

rass~mbloient

ses favoris,

moins de consommation, moins de travail,

moins d'aisance ..

u

ne nation qui paie

a

elle–

n1eme, ne souffre pas de la multitude de ses

paiemens ., et meme de

la

légereté de ses

dépenses, comme souffriroit une nation tri–

butaire envers

les

nations

étrangeres.

n

r 'sulte du moins ehez celle-la, de la force

ele ses recettes et de ses clépenses , un grand

ouvement d'argent et d'affaires ,

dont le

ien-etre du peuple ,

il

est vrai , n'est pas

l'objet, mais dont le peuple tire toujours

q:ttelque partí pour sa subsistance.

H

'' Maíntenant que

les

choses sont ramenées

a

la

vraie soui:;ce de la prosp, rité publique'

si nous voulons parvenir

a

cette prospérí

s, ns une intermittence cruelle et des secousses

clangereuses, il nous faut

absolum~nt,

et c'est

un devoir que nous impose l'ouvrage . nenf

!

d@

longue

haleine

.que

nou~

él evo

ns

íl