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o trage de
cette assembl 'e,
qui
travailI
ans r lache
a
porter par-tout 1 économíe ' '
snpprirrier toutes les dépenses du fisc ,
qui
e sont pas justes et nécessaires. Mais il
n'en est pas moins vrai que ces prodigalités
journalieres
du
gouvernement
étant
retran-–
- hées, il en résultera momentanément dans
les
villes
011
se
rass~mbloient
ses favoris,
moins de consommation, moins de travail,
moins d'aisance ..
u
ne nation qui paie
a
elle–
n1eme, ne souffre pas de la multitude de ses
paiemens ., et meme de
la
légereté de ses
dépenses, comme souffriroit une nation tri–
butaire envers
les
nations
étrangeres.
n
r 'sulte du moins ehez celle-la, de la force
ele ses recettes et de ses clépenses , un grand
ouvement d'argent et d'affaires ,
dont le
ien-etre du peuple ,
il
est vrai , n'est pas
l'objet, mais dont le peuple tire toujours
q:ttelque partí pour sa subsistance.
H
'' Maíntenant que
les
choses sont ramenées
a
la
vraie soui:;ce de la prosp, rité publique'
si nous voulons parvenir
a
cette prospérí
té
s, ns une intermittence cruelle et des secousses
clangereuses, il nous faut
absolum~nt,
et c'est
un devoir que nous impose l'ouvrage . nenf
!
d@
longue
haleine
.que
nou~
él evo
ns
íl