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'
I
.., que le dernier
resultat
de cette
souscrip..;
•>
tion a
ete
adteSSe
au ttiinistre
H.
·
M. de Volney
conclut
a
ce que le
don
fftt
rejette.
M. Toulongeon
disoit :
Pourquoi suppose-
.
rdit-on aux
Genevois d'
autre
motif que
celui
de
£.OJztribuer
pour leur part au retahlissemellt dt
n o.s finances
,
puisque toute
Luu
fortune est ins!–
parable de notre prosperite, et qu.t nos malheurs
entratneroient leur ruine
?
M.
MIRABEAU.
Ce n'est
pas
une
supposition
gtatuite, 1
ur
1ettre suffit pour connoitre et
apprcci
r
I
urs
motifs :
j
e ne veux pas ici
vous
I
r
1
r ur
de
vraisemblances , je ne veux que con1menter
ce
qu"ils
Ont eux-1n&1nes
ccrit;
VOllS
n'y
Veff'-'.:Z
<JUe
trop dequoi soutenir
par
la
r
i
on
cctte
defi.ince ,
qu\111
instinct de liberte
ous fit
eprouver
au mo1nent
OU Ce
don
VOUS
fut
annonce )}. .
)} Quel est ce
don
en lui-meme
?
Ce n,e
t
point une contribution
pafrj
ot!que. Le Gcne–
vois ont depuis long-terns l'honn ur d'avoir une
pattie
?
C'est
un bienfait de lcur
genera
ite,
c'est
un secours
philantropique,
c'est une occa-
..§i011
precieUS(,
et ltlllqlte
a
StlLStT
,
disent - i}s,
d'exprime1·