ici je
vous
arrete ' et
jc
decouvre votre
sophisme en
un
seul mot, que
vous-tneme
avez
profere :
ainsi
vous
ne m'cchapperez
pas. )•
·.
)' Dans votre discours vous attribuez exclu–
sivement l'enonciation de
la
volonte
gene–
rale....
a
qui
?
Au pouyoir Ugislatif;
dan.s
votre decret,
~
qui l'attribuez-vous?
au corp$
Ugislatif.
Sur cela, je vous
appelle
a
l'ordre.
Vons avez
forfeit
la constitution. Si vous
tntendez
que le corps
legislatif
est le pou–
voir legislarif"
vous renversez
par cela seul,,
toutes les
loix
que
nous
avons
fait@s : si,
lorsqu,il s'agit d'exprimer la volonte
g"-~nera1e,
en fait de gaerre, le corps legisbtif suffit. ...•.
Par ceJa
seul,
le roi n'ayant ni
participation,
ni
influence, ni
controle, ni rien de tout ce
que nous avons accorde au pouvoir
executif
p~r
notre systeme social, vous auriez en
- legislation deux principes differens; Fun pour
la legislation ordinaire , l'autre pour la
legis–
lation en
fait
de guerre, c'est-a-dire, pour
la
crise la plus terrible qui puisse agiter le
cor)s
politique;
tantot
vou-s auriez
besoin,
et
tantot
vous
n'auriez pas besoin, pour l'expres–
'ion
de la
volonte
~nerale,
de l'adhesion du
._,
monarque, ... et
c'esr votis
qu1
"':; adcz
d'homo..,