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pense de ses services ,
le chctrme de ses
peines'
et le
prix
de ses dangers; il ne
r
oit
attendre
sa
moisson,
sa destinee,
la
seule
qui
l'interesse,
la
destinee
de son norn,
que
du terns, ce juge incorruptible,
~ui f~it
j'l!:-
. tice
a
tous. Que ceux qui
prophetiso}
:~'
·.
depuis huit jours
n1on
opinion, sans la c n-–
noitre,
qui calomnient en
ce
moment mon
discours
sans
l'avoir con1pris ,
m'accusent
d'encenser des
idoles
impuissantes, au
tnoment
011
elles sont
renversees ,
ou
d'etre
le v il
stipendie des
horn
mes que' je
n'a-i
pets
cesse
de "ombattre; qu'ils denoncent
comme
un
ennemi de la revolution'
celui
qui'
peut-etre
n'y
a pas
ete
inutile' et qui' cette revolution
ff1t-elle etrangere
a
sa
gloire '
pourroit'
la
seulement' trouver sa
surete;
qu'ils
livrent
aux
ureurs
du
peuple
trompe, celui qui
depuis
vingt
ans, combat
toutes
les
oppressions ,
qui parloit aux Franc;ais de
liberte,
de
cons–
titution, de resistance , lorsque
SES
vils
calom–
niateurs su90ient le lait des
cour~ ~et
vivoient
de tousles
prejuges
don1inans.
Que
m'importe?
Ces coups de
D3.S
en haut ne m'arreteront
pas
clans ma
casriere.
J
e leur
dirai'
reponctez,
s1
vous pouv ez ; calomniez ensuite ,
t~n
t
que
vous voudrez.
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