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prelats
et les ci-devant
nohles
,
demanderen't
I
a
grands eris qu'elle
fut
mise aux
VOlX.
Le president leva la seance.
Le
lenden1 l
jn, la d iscussion comment;a sur
la
:m.oti0n
de Do n-Gerles: -
Do1n -
Gerles
avoit
rcflcch;.'
sar
se"
effcts;
il
la r etira,
ses
ennemis s'en emp arcr ent, et
la
sout"nrent avec
une o
1iniatrete,
g
1i
ne ress crnblo.:t pas
du
tout,
a
l'an1our
di's int~re
·e
~ e
Ja
~ c r~_,j on.
J_,cs an1end
t.
e n
s e s tcccdoi cnt
vec
rap1-
dite'
cle nouvel.t cs
re
lactions
a
-rivoient en
foule.
M. de la
Rochefoucault
presenta ce1le-c!:
L'assembUe national.:- considerant qu'clle n'a,
ni ne peut ,1.voir aUCltll
pouyoir
a
e.;.::ercer sur
Les
consciences
et
sur Les opinions rdfr!i uses
;
que la
majeste
d&
la rdigion et le
respect
profond qui
Lui est
du,
ne
permettent
pas qu'elle devienne
l'objet d'une
dJliber~~tion;
considerant que
l'at–
tachement de l
assemblJe
nationalc au culte catho–
lique, apostolique
et
romain,
ne st;i.uroit
hre
mi~
en
doute
~
dans
Le
moment
m e'me
,
oz} ce culte
seul ya
etre
mis par elle
a
la
premi~re
classe
des
dJpenses puhliques
:>
et
oz~,
par un
mou
ve–
ment zuzanime, elle a prouve son respect, de la
seule maniere qui pou.voit convenir au caracterc de
t
assembtee naticnale
:>
a
decretl
et
decr~te
fU.,elle