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M.
d'Eespdmenil
persista clans
la demande
d'ajournement ; il trouva des contradictions
dans l'expose de
M. Bailly. -
On murmuroit.
MIR
ABE
Au.
~
Lorsque j'ai
demande la
parole , eetoit
pour combattre l'ajournement.
J
e crois ,
d'a–
pres
la discussion du preopinant, pouvoir me
dispenser d'etablir mon avis
a
cet egard' puis–
qm~
la
questiG>n
est jugee par le fait. M.
Bailly,
comme
depute ,
a
donne son opinion
sur
le
fonds de la m2tiere ; M. d'Espremenil , autre
membre de l'assemblee ,
a
donne
la
sienne :
la chscussion est done ouverte. Je ne sais en
quel sens on pourroit maintenant proposer
ra–
journement : en effet qu'elle est l'operation
proposee
t
c' est
un
mode
de realisation po11r
plusieurs
decrets
qui renfern1ent les proposi–
tions les plus
urgent~s
, les plus pressantes;
ce 1node est
hon
ou mauvais : il faut decider
cette question ; il faut
la
decider sans retard;
quel est done le motif de l'ajournement
?
On
croiroit qu'il
y
a beaucoup de danger
a
lever
enfin le doute sur la vente des bi ens du clerge:
on diroit qu'il est
extremement
deplaisant de
voir
le
terme
011
les allannes
que
donnent
le~