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(
2~)
I
naux,
da~s
un
memo
ire renvoye au
comite
des
finp.nces.
M.
de LaBLac!te
venoit
de
presenter
le
resultat
de !'examen du
comite.
Il
avoit conclu, par
un projet
de
decret ,
divise
en
plusieurs arti–
cles , et dont une
des
principales
dispositions
etoit ,
que
Les biens
d1t
domaine
,
~t
Les hiens
ecclesiastiques
seroient
incessamment
vendus
,
jusqu'
a
la concurrence de
400
millions
,
a
la mu–
nicipalitd de
Paris,
et
aux principaLes municipa–
lids
du
Royaume, auxquelles
il
pouvoit conve–
nir
d'en
fa:re l'acqu,"sition.
Une autre
disp0~1
:..o
I
~ccordoit
a
la ville
de Paris , en
retour de l '
....
m
i
ae
son credit,
un benefice d'un seizieme ,
..-ur
la
totalite
de
l'cwperation.
Ceux
qui
ne vouloient pas que les biens
dits
AU
clerge, fussent vendus, et de ce nombre
etoient , MM. Caza1es et d'Espremenil , de–
manderent
!'impression
et
l'ajournement.
La mtn1icipalite de Par is , premier auteur
du plan .,
fut accusee de
n'avoir
travaille
que
pour son interet.
M.
Bailly
la disculpa : il rappe1la toutes les
pertes ,
tous les
maux soufL.rts par les habi..
tans
de
\'1
capitale ; il par1a
des
secours
qu'on
~evoit
au plus grand nombre.
(