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9~
)
l_
,, Quant
a
ce que je trouve
d'i11jurieux
dans
Jes expressions de M. l'abbe Maury, je
sui~
fache
qu'il me force
a
en parler de nouveau; .
mais je le ferai succintement et
avec
£impli–
.cite-+~
•.
»
Si M. l'abbe
Maury
n'eut
<lit
que cette
partie de sa
phrase:
je le demande
a
ces hommes
a
qui fa nature a
r~fu,st
tOllte
esp~ce
de
courage,
~t
qu'elle n'en
'Ir
dedommage que par celui dt la
hunte.
On
pourro!t
soutenir
que ce n'est
la
qu'une figure de rheteur, inconvenante et
de
mauvais
gofir;
mais ces mots,
q11.'ils me
repon–
dent'
lors
meme
qu'on les isoleroit ' comme
il le veut de
ceux-ci,
dans
cetu
assemblee,
sont
une
apostrophe
tres-directe' et
par
consequent
.tres-impossible
a
justifier. Or
nous
les
avon5
si bien
entendus , du moins
dans
la
partie de
la
salle
011
je
suis p1ace,
que nous nous som-
·rnes
ecries :
L'abbe
Maury
seul
peut
faire la
J,_
mande
u
la reponse
,~.
'>
Mais,
Messi'eurs, tout ce debat est
si
, triste et si fastidieux,
qu'a
Dieu ne plaise
que je le
prolonge
par d'im.
.itiles
reflexions.
It
me
semble qu'il ·
seroit bon , pour
l'interet
meme.
de I\1.
l'abbe
Maury'
de
l'abreger' et je
I
4owte que
s
)n
plaicloyer'
orne
des
hurlemens
,