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47)
roi' osenez
vous lui
dir,e que vous étes
les
.
seul~
représentans de ndtion
qui soient
¿onnus
de Sa Ma)esté
?
Lui diriez . vous qu'il ne con-
, rioit . pas· lés dép~1tés du dérgé,
qu'H
ne con–
noit
pas
ceux de
la
uoblesse pour des
·,epré–
sentans de la nation,
lui
qui
les a convoqués ,
comme -tels ,. lui
qui a
desiré _qu'ils lui
füs–
sent présintés comme te_ls , lui qui le's ' a fait
appeller c~mme
tels , h~i qui les a
présidé
air"
·i
que
pous, dans l"ass,emblée nationale '
hu, enfin, qui
1
a re<;u leurs discours, fetirs
adresses comme I;~s notres, et qiti _les
~
cons–
t!-1mment désignés par des , termes équivalens.
a
ceux <lont
il
s'·est servi avec nous
».
<~
Le·-
titre
que
j"~
vous propose, e-e
t itre.
que
vpus
réprouvez,
n'ª point
l'inconvénient
<le
s'appliquer
a
d'autres
qu'a
nous,
il
ne
c0·n-–
vient
q1i'a
nous ·, il ne ~ous séra di~puté par
personne.
Les
r:eprésentans
dtt
peuple
franfais
t
Quel titre
pour
des
hommes
qui,
comme
vqus.
a iment
le peuple' .qui sentent comme voús
ce
qu'ils
doiv,ent
au
peup1e
~>
!-
- ~, 3°.
Cett e meme moti~n que
je
com–
bats,
tout /en vouant mpn estime~.
rnon .
res–
pect
a
celui qui
r
a proposée-, .
·vous appelle-·
/es
r;eprésfi11;LZ1ZS
vérifiés
cÍe
la
natÍon , , comme si,
le_s. autres rep t6.í-,rr,tan-s ·
n'avoient
pas.
aussi été: ·
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