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J
En est-il une qui rejette
plus
fortement
que
1a mienne tout
veto,
c'est-a-dire,
tout
droit pal)_
lequel les . dépuds des
classes
\
privilégi'ées
>
e~
q,u~lque nombre
qu'ils
soient
,
voítdroiem s',op•
poser par des délibérati(?ns séparées
,
prises kors.
de
'f
assemblée nat~onale .,
~
ce qui
suoit
jugl.–
'nécessairt pour le bien gén/ral , de · la France
?
>.•Nous sommes done <l'accord sur
ces
quatre
points vraiment c'ardin~ux , vraiment
néc~.s.... ,
saires , qui devroient no,us -s'eryir
á
tous '
de
slg~a~
de ralliement
».
.
<<
En quoi ~ifférons nous
?
Qu'
est
f
ce
,,qui
peut justi:fier
cette
.~haleur,
cet ·éloigneinenf
que
nous marquent l~s uns
p·our'
les opinions,. ,
des
autres
?
Commenn
se fait-il
que
ma mo•
tion, si clairement ·fondée
sur
les princip~s ;
qui
les
met au.'...dessus
de
toute atteinté\
si
explicite '
si
satisfaisante
pour
tout homme,
qui
déteste,
~omme nioi, t~ute
espece d'a-.
ristoc:r:atie ·, ,
comment se peut -
il que
c~tte·
motion ait
été
présentée
I
comme
si ,
étrange,, -
si peu
digne
d'une
assemblée d'a1~is ,
de
se.r..
viteúrs de
ce peuple qui nous a chargé de
Je défendre
>)
?
1
1
•
f(
1
°,
Un cléfaut commun aux dépomina.;
_tions q~1e
j'attaque, c'-est qu'e1les sont Ion"'!
, gues, c'est qu'elles ~ont
inintelligibles
pom:
l
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