-e
2
41 )
- -entre,
lesq¡t~lles
'vous avez
a.
voüs
dét~tminet,
plus je me
périetr~
de cette
incontestable
vérité;,
/
-e'
est
qu'dl-es
se rappro~hent , .
e'
est qu'
elles
coincident en ces
poin"t$
essentiels :
,.~
1
°.
La néc~ssité de se
(:Onstituer
promp-a _
tem.ent .
en
assemblée activ~ ;
'cette
nécessité
est
reconnue
par
M~
l'abbé
Siey'es,
J?ªt
M.
_Mou–
pier
,
elle l'est
pat
ma
1notion
,
qui tend
a
·
tlOUS
prcis-erver
dts
ma(heureux
effets
qut
¡pour–
'l'oÍt avoir,, une plus
longue
durée de l'inaction
a
taq~elle noqs :vons
üé
jusqú,a 'présent
jo;cés
,
par la
pené.véraizc-e
des_
das-ses-privilégiées,
daM
l-eur
refus
de
se
réunir.
,.>-
2°.
L'aveu
que
·nott~ assemblée
n'est--
~-t
ne p·eut
<¾tre
le$
é~ats-généraux._
Aucuti
de
nous
ñ'
ose
~ous
'don::1er ce tit ree
Chacun
sent
qu'il
ú:appartient ,
qll'a
t~ne
assemblée des
dé2ur_és·
qes
etats -_des
ttois
ordres.
Id
€ntore M.
l'abbé
S-ieyes ,
M.
Mounier et moi. , · nous nous
t
•
/
l
•
•
'
'
renconttons
partaiterhent
>>.
·
\
'
H
Jº. ' L'avantage
qu~ify auróit
4
tTOlf'Jl'ef qtteJñ
}
1
¿''
'
••
•
l.
qu autre enomuiatz(!n
,
sous laqudle cette
assem ....
blé.-e
pu~sse étre, const_ituée; et qui,
sans
équivaloir
J
celte
d'
ltats-généraux; soil
cepindaJ?,t
suffisantt
~
poui
la
mettre
en activité.
)) Ici
nous sommes
d'acéotd ;
car soit
que
nous -nous appellions
'les rept'.ésen tans
connus
Q2
I
(