(
144)'
',
u
vérifi.J~. de la_
nati0h
,
les
reprtstntans
Je lit
majeure partie de la
nation_·,
et
les
représf,ntans
du p euple
,
notre but est le
mem_e ; .
toujóurs
nous réunissó,ns - nous contre ··\a qualificatioa
également absurt!e ,et déplacée· d'
états
-
géné–
raux ;
toujours cherchons-nous·, ·en excluant
ce~ titres ,
ti.
en
trouver un
qui aille
au
grand
h µt de l'
activité,
sans avoir le
funeste
incon–
v énient ' de paroitre une spoliation
de
deux
o rdres, dont,
quoi que nous fassions ,
nous
ne oourrons
nous dissimulet l'existence, bien
qu e.l
nous mo_us accordions
a·
penser qu'ils
ne"
pcuv ent ri en par
eux:.memes
» •.
~>
4
°.
Le quatrie1ne
point
sur lequel nouS'
_sommes d'ac·cord ,
c'est la nécessit é de pré–
v en1r
t out e opinion par chambres ,
toute·
sci ~si on de
l'assemblé.e
natiohale ,
tout
yet'@ .
,des
ordres privilégiés
>}.
»
Ic i
encore je me
plais
a
r 'endre
hommage
aüx autres motions; m, ais
sans croire qu'elles
-aient po irvu
a
ce mal que
nous
craignons
·tous , ave c plus d'énergie que je ne l\ii
fait.
En est-il une.
qui ai t
p lus forteraent exprimé
.
.
• , .
•
.
l
•
que
la
n:1enne ,
1
rnt ent1on ae.
commumquer,
non avec les
aut res
ordr es ,. mais
.directement.
¡
•
'
l
•
_a s_a
m c.iJt~te
,
.!.es mesures que
nous est1mons
nécessaires
á
la régénération d\.t ' royamne_
~