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bien ajouter ,
a
mon
estime pou~ ses
talens
;
tnais n'
est
pas
lln
titr~ pour
i:n'
én
impose.r
}>.
,J
il
réi)ond
·a
ce que j'aí
<lit
sur la ·nécessité _'
-
de la
sanction
royale, que lorsque le peuple
a parlé, il ne la cr~it pas
nécessaire.
'Et moi, ,
Messieurs , je crois le
veto
du -roi tellement
/
l
•
•'
)
4
•
•
•
•
\.
necessaire ,
que
J
aun_ero1s m1eux
v1vre
a
~onstantinople qu'en France, s'il .-ne l'avoit
pas: oui,
je
le déclare, je ne
connoitrois
ríen
_de plus terrible que l'aristocratie souver~ine
de_six
ce~ts
personnes
qui demain pourroient
sé re~dre
inamovibles, apres-demain
hérédi–
taires , et finiroient _., comme les
·aristocrates _
de tous les
pays
du monde, par tout envahir..
Mais, Méssieurs , puisque
ma mqtion .
a'
été
mal
cornprise, je dois la
défendre
avec des
raisons
·phrtot _qu'avec des
rÚríminations
ou
des
exemples
tirés des
langues étrangeres.
- Je ·dois vous
montrer en
quoi
elle ressemble
a
toutes les
autres, et
vou$ prouve-r qu_~
dans
les
points
011 ,
.elle
en
di:ffche'
elle
présente
de
grands
avantages. Tant que nous somm~s
ici
des individus qui exposons notre sentiment ,
~on
devoir
m\mpose de
défendre le
-mien,
et
il n'appartient qu'a
'¡~
décision de
l'assem- ·
blée d~ me soumettre.
,~ Plus
j~
considere les différentes mot:on~