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( 242 )

bien ajouter ,

a

mon

estime pou~ ses

talens

;

tnais n'

est

pas

lln

titr~ pour

i:n'

én

impose.r

}>.

,J

il

réi)ond

·a

ce que j'aí

<lit

sur la ·nécessité _'

-

de la

sanction

royale, que lorsque le peuple

a parlé, il ne la cr~it pas

nécessaire.

'Et moi, ,

Messieurs , je crois le

veto

du -roi tellement

/

l

•'

)

4

\.

necessaire ,

que

J

aun_ero1s m1eux

v1vre

a

~onstantinople qu'en France, s'il .-ne l'avoit

pas: oui,

je

le déclare, je ne

connoitrois

ríen

_de plus terrible que l'aristocratie souver~ine

de_six

ce~ts

personnes

qui demain pourroient

sé re~dre

inamovibles, apres-demain

hérédi–

taires , et finiroient _., comme les

·aristocrates _

de tous les

pays

du monde, par tout envahir..

Mais, Méssieurs , puisque

ma mqtion .

a'

été

mal

cornprise, je dois la

défendre

avec des

raisons

·phrtot _qu'avec des

rÚríminations

ou

des

exemples

tirés des

langues étrangeres.

- Je ·dois vous

montrer en

quoi

elle ressemble

a

toutes les

autres, et

vou$ prouve-r qu_~

dans

les

points

011 ,

.elle

en

di:ffche'

elle

présente

de

grands

avantages. Tant que nous somm~s

ici

des individus qui exposons notre sentiment ,

~on

devoir

m\mpose de

défendre le

-mien,

et

il n'appartient qu'a

'¡~

décision de

l'assem- ·

blée d~ me soumettre.

,~ Plus

j~

considere les différentes mot:on~