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1-égiées de continuer -des assemhlées que sa
-=-ma,jesté a reconnues ? Les empecherez - vous
4e prendre des célibéi-ations ? Les empeche–
rez-vous de prétendre au veto ? Empecherez–
vous le ro,i de les recevo ir, de 'les reconno1-
tre, de leur continuer les memes titres qu'il
leur a donnés jusqu'a prése~t ? Enfin, empe...
cherez-vous la nation d'appeller le clergé, "le
clergé; la nohlesse ~ noblesse H ?' ,
~ On a ·cru m'oppose'r le plus terrible di–
lemme , en me disant que le mot peuple signi.
fie nécessairemént ou- trop ·ou trop peu; que
'.si on , l'explique dans le rileme ,sens que le la–
tín populus , il signifie la nation, et qu'alors
il . a une e~ception plus étendue que -le titre
auqu~l aspire la gén~ralité de l'asse.mblée_; ~
que si on l'en.tend dans un sens plus restreint,
com,me le l'atin plebs ,Jalors il -suppose des or–
dres, des différe_n d'ordres, et _que c'est
la ce que nous v;oulons préve·nir. On a . nieme
été jusqu'a . craindre que ce mot .t:1e sign~-
fiat' ce- que les lati11s - appelloient · vulgus,
,e que les anglois appellent mob, ce que les
aristocrates, tant nobles que ro.turiers; ap-–
pellent ins.olemment la "canaille.... ~,
<~ A cet arg.iiment je n'ai que ceci a répon...·
-dre ~ e'e~t qn'il_ es t intinime;nt ·he:urevx _qtie