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vont nous donner u1-1c constitution ; régler
l'état , arranger les finance-s; et l'on vous
apportera .solemnellement l'extrait de leurs
1 .
, régistres pour servir désormais de code natio-
pal....., Non, Messieurs, on ne tliansige point
avec un tel orgutil , ou 1'0ri est bieatot
esclave. ))
)> Que si nous voulon~ essayer encore des
voies de cqncili"ation, c''est au clergé, qui
du moins a eu pou.r nos invitations · l'égard
de d,éclarer qu'il ne s.e regardoit pas comme
constitué légalement , et cela au tl}Oment
meme Oll la noblesse llOUS dictoit ses 'aécrets.
, s~mverains; c':est au clergé qui, soit intéret
,bien entendu ~ soit politique ' déliée ,, montre· ,e desir de rester fidele au ·c~ractere de média-,
teur; e'est au cJer_gé, trop habile pour s'ex~- ,
·poser au prerhier coup de tempete ;. e'est att
, clergé, qui aura toujours une grande :part a
la ~on:fianc~· des p~uples., et auquel il no~1s.
a · long-f~ms encore de la conserver;
c':est au ciergé qutil faut nous ~ser )'. non
pour arbitrer e.e différent ,:- 1ine nation juge
d'elle et d.e toü~ ses membres,, ne peut 'avoir
n i pro.ces~ ,ni arbitres avec cmx ;. inais pour.
interpóser la puissanc1e de la puissarice, de la
doctrine chrétienne , , des f~n-cti0ns 1 .,