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•
( 1$~ )
i
e¡1 ~uctm sens , ce
qui
ne_
peut pas se dire
d~ns tous
les
systernes ; _car on aura b~au se
' récrier ~ur ce
qu'on
appelle
de,s
disputes
~e
~ots , t?nt que 1-es hommes fl'auront
que des
J
/
.i~1ots
pour exprimer
leur
pensée ,
il
faudra
pe-–
Sir
ces Ínüts. Eh
!
de·
bo~me
foi ,
est-ce
bi,en
a
ceux qui- courb~nt la tete devant
Jes poin-s
tilleries
des publicistes , es.t-ce
bien
~
ceux
qui
noqs
!cl,ppellent
sa,ns cesse
a,
de vieux
te:x:tes ·'
a
de
vieux titres'
a
de
belles
phra....
ses~ ·
a
des .
autorités ·de discours
et
d'
insin.1.ta"Sl
tions;
est.;c_e
bien
a
c'eux qui
'notis
ont
jour:.0
-n.ellement
fait
dir-e ce
qt\e nous ne voulions
pas dire ' ,
répondr-e
~e
que
nous _ne pouvions
pas répondre ,
a
nous reproGh~-r -
de
peser
sur les mots
?
J'Tous
n'avons
pas
cessé de con~
venir
que
nou~ n'~tion$
pa$ constitués :
de~
vons-nous nous. permettre
des
formules qui
aie}\t
to\ites,
l~.) apparences d'un.
act~
d~ ju–
~isdictioq~
?
Ayoµs ~nJm~
e11
tort
.de
préten~
dre que la pui~sance doit
·précéder
l'action
?
si tela
étoit vrai
hier , cela ne
l'est-il
phis
a~1j o1.1rd'húi
~
~i
cela l'est ~ncore , ,pou-,
·vons".':úqi1_s
plus que
les
joi;.rs p.a$sés_
faire
de&
déclaratio~s
seq-et~s ,
com,rnencer
des
-:r~gis-;>
tres ,
donner des
pouvoirs?
Tout
peut
se
dé"1
fend°re
~
MM. , excepté l'im;o1;is~quen_ce
» ..
~
;