( tS5 )
~) Ces deux avis_, chacun
dcJns leiu;
~~n~
j
m~
parois·sent également exagérés~
>>
>>
Et
qu'o~ ne nous rép~te pas de grands
y
lieux communs sur la nécessité
d'une conci~
liation. Rien n'est
.plus
ai\s_é que
de
Sq.i'sir,
par
1~
~ot
1sa)~itaire,
I'~s e~prits, pe.u
attentifs.,
ou
me~e
les
bons citoyens
q.uiont
plus
de
qua–
lités morales que
·de
connqissanc e,-d,es affaires,
plps de
;z;ele
que de prévoyance; car le
vreu
~e ~9i1s
I.escreurs honnétes
est
la
concord~
et la
paix
~
mais les hommes ?cldirés
s~vent,
aussi
qu'une
pa.i~ durable
n'a
d~autre b a_s.e
qlie
la
.Ju~ti~e,
qt1
ne
pe_ut reposer
que
sur
les.
prmc1p~~- >P
·
)>
Mais p-eut•on,
saris
avettgle~ent
voJ.on~.tatre ·,.
se
flatter
d'une
-c~neiliation
avec les
.membres
de
la nobless~
~
lorsqü'ils
ne
daignent
laisser
entr·~voir
qu'ils pourront
s'y
preter'
qu'aprés avoi r dicté · des
loi'.7'
exclusives
de
toute
concilia,tion
?
lorsqu'ils font précéder
leur co_mentement
a
nommer
des
c'ammissa1res
· _pour
$_e concerter 4vec
Les · autres
·ordres
d~
la
;fiere
déclar~tion
qu'ils sont légalemeut
cons .... ·
;:itués.
N' est'l:"ce )
pas
la
'joindTe
la déri;.;~oq a. u
~respotisrne? Et que
leur
r este-t-il
a
co1u~rur
t
'
·1
9
••
"
1
o.u moment
ou
1
s
-s
adJl
gent
eux-memes
1eurs
¡mh~ntions
?
L~issei~les fuire ,
Messieu.rs,
ih;
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