Ci~9
J
,~ Envoyez
aü
clergé, MM., et n'en;oy~
\ point
a
la noblessé , car la noblesse or–
donne et _le- clergé négotie. Autorisez qui
vous voudrez
a
conférer avec les <:ommis-
'
1
saires~
du clergé ,
pourvu q'ue ~os
1
envoyés
ne puissent pas proposer la plus -i.égete com:–
position, , parce que sur
le
point fondamen-–
!ªl.
'de la
vérification des pouvoirs dans
l'as...
-semblée nationale , vQus
ne
_pouvéz vous dé–
partir de rien ; et quant
a
la noblesse ', tolé~.
iez que
les adjoÍnts
conferent aveé
i
@lle
comme iadividi1s, mais ' ne leur donnez .
au–
cune
i:niss.ion,
parce qu'tlle seroit sanS
but· .
et
ne seroit pas
sahs
danger ~,.
<~
En
··effet , ne nous dissimulons
pas :
que
da.nsnotre
sein
mame
on s'efforce de former
' un . parti
.poúr -
divi~er les états-généraúx
en
trois chambres· , pour les fc!ire , délibérer ·
et
opiner par ordre , unique a1nbitioµ des· pti–
vilegiés.
en cet
instant , et
qui
est
l'ohjet
d'un- véritable . fanatisme. To.ute déviation
-du ·príncipe ;
_toute
appar.ente de
composi–
tion e~coura:ge~a le
parti, et
entrainera
ceux
d
1
entre no~1s. qu'on est parvenu
a
ébranler.
·Déja
ron
a répa~<lu ,
déja
l'on
ptofesse .,
-qu'il ,
vaut
mieux opiner par ordre que
de
s'expo¡er
a
une sdssion_' ( ce qui ·revient
a
...