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[ 160

J

.J{

la ·éraime

de

dés-obliger

ou clavóir dl sobligL

D'ailleurs, la présmtation est pttrementf:.1-~ultativt

et nullement obligatoire ni légale. Le r'oi re~oit cki (_

lúi

qui

i(

veut et

o~

U

veut. Le code

de téti'quette

a

été

jusc¡_zt'ici

le

feu sacré des gens de cour et des

ordres privilégiés

;

la natión n'y doit_ pas mtttte

lamémeimportance. C'est lorsqu'elle demandera

que,

les distinctions humiliantes soient toute's abolies·;

l

' ' .

d '

d'

'

que

es temoignages

e

respect

·

ecerm:s

au:

monarque,

et

qui ne sautoient

étre

trop granas

,

puisqu'u.n

peuple s'lzono're lai--meme en honora,zt .son

.Pri'nce.,

soient uniformes

ét

universels ,parce que Les variüés

'

-en ce genre

ne

-,font plus un tribut

t.l'

honneur, mais

lln symbole

d'

esclavage ; e'e~t alors

qü'

an pourta

citer cet

'eXémple¡ri-cent

des rites seryiles.

Aujour–

d'!tui

nous ·-ne

somme'S

qzle

des individus

d

qui

le

législa,teur provis-oire n'a point en core ouvert

·

levres,.

Eh

!

qand nous pourrons p arler

,

ne notts

o-ecuperoJis-nous pa.$

d'

objets

plus sllrieux

que de

la

1zomendature '

des

escaliers

et des sallons par

ou

le

maÍtre d es

d rémonies

n o1i s

a fait passer

}1?

>>

·Mais vóici un inddent d'ün aütre genre,

et que nous regar dons

comme

une v éritable

;victoire remportée pour la

cáuse

populaire ~,.

»

U

ne <léput ati on

irréguliere

nommée en

P 1;ov ence pat -certe

parti e

_de

'la

nobl é~S f

1

qu'i

ne veut point coot ribuer aüx charges

publiques,

n1