(
IO~ ')
eablement approuvée, mais contre mon opi..:
nion, con!re celle des communes , et trouve–
rent
moin~
facile
d'exclure
un
seul membre
. des états ' que
cr
en exclure le vreu de
la
na–
tion elle - méme. M. de la Fare a ~ans doute
confondu la
légitimation
de
mes pouvoirs
et
._celle
de mes
pensées;
il
a cru que
le
droit d.e
rejeter une
opini~
,
.r enfermoit
celui d' en
re–
jeier
l'auteur'
ét
que si 1.'on_
parverioit
a
mct
.fer~er l'entrée des états.,, 9n en <;:hasseroit ir..:
.révocablement
et mes mGtiqns ·~
et
rne.s. vceux·,
. , .
et
mes suffrages. ,
_
-_ Dans quelles
circonstanc-es
M.
de
la
Fare.
.a-t-il done
provoqué mon exclusion
?
C'
est
dans· l'i~stant
011 ,
forcé de répondre
aux
protestations. des prélats et des possédans,.
nefs ,
apr~s d'inutil es efforts pour obt enir com ..
.munication de ces pieces, et voyant les -séan:–
_ces
_de
nos _prét endus état s :
renvoyées
de jour
-en jour ,
f
av.ois dénonc.é t_out .
a
la fo is-. par le
· .mi11ist ere
.ci'un huissier, et
ce_
d.én.i
de. 1usti~e.,
1
et Ja répons:e que je d~v_ois
a
l'intéret national
bien
plus
qu'a ·
moi-méme•.
C'est
lo.rsqu~.
je
venois'§apprendre
au
p.tt–.blic , que .sur ma demand~ d'une copie .c;l~s
picces
protestatoires,
M~
de la Fare , pro~u–
.reur du
pays
'récQndit
au pré~dent de.l'assem:-: