( 103 )
(1e diffi.cultés
a
tile
rendre
syndfr
QU'
corps
q:u'a
m'en laisser m'embre ..
Ce
n'est point ,.
il
y
a t~n mois ,.
lorsque
j'ai
été
récemment admis , ... quoique
M~
de la Fare
füt présent ; et qu'il
sut
parfaitem-ent
rqui_
je
.SUIS.
i.
Ce n'est . point lorsqu'on me ··fit¡~fl:élibérer ,-,
moi non possédant fief
~
sur le, dinoi\ qhe les
nobles non possédant-fiefÚlisent avoir d'entrer
aux états.
Comme j'ai .--porté
seul
l'opinion-de
les
admettre, M. de J.a Fare
.aura
cru peut-etre
que le meilleur
moyen
d'infi-rmer cette.opinion
.étoit de montrer qu~ j-'étois jug-e et ·
partie,
et
de me déclarer non possédant-fiefs~ Je n'av~is–
pas· g~·évu · un moyen aussi simple de me ré·-–
pondre.
Ce n,'est point lorsqu'on me
fit
défih'érer sur–
les
instructions que 1es possédans-fiefs
devoienf
~
\ 1
,,
'
'
, ,
J
aonner a eurs ueputes aux etats.-generaux. e
111anifestai ene
ore
sur ce1:
obj
et
imp0rtant
une
opir.iion eontraire
a
celle <le l'assemb}ée. Eh
!"
n'aurois ...
jé'
pas.
dfa
penser, que si j'avois sans
.cesse une, opinion co.ntraire, on,
diroit
enfin ,.,
comrne par réflexi0n: cet h0mme qui n'opine
pas comme nous. n'est :pas, des..rtotres ..M. de
la
Fare a eu le premier
rhonrnm:t
de cette impor~
ta1ae
nHlexion¡_
'-
1