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Voila

les faits ; marchons ·

a

1-eur d~velop–

pement.

Qui est

M.

de la Fare, et qui ·suis-je

?

M.

de laFare est, comme consul

d'Aix,

me·m_–

bre des communes.

Et

moi , dans l'assemblée

actüelle de nos prétendus

états, _j'ai

été,

je~uis,'

je serai l'un

des

défe.nseurs des communes.

M.

de

la Fare, l\m

des

cinquante::six

mem–

bres

du

tiers,

a cru

.senl

ne pas

devcúr-:

voter

pour cet

ordre.

Et

moi, presque .toujours seul

dans le

mien, j'ai cru devoir

voter

ppur l'éter–

nelle j·ustice

que

les communes

.réclament.

M.

de

la Fare ,

hors de

l'assemblée

actuelle

des

pr'étendus

·états '

est

i'un

des

procureur~

fondés

du

commun . peuple,

puisqu'il .f

est

des

trois ordres. Et nioi qui

ne

suis

ni

cónsuJ·,

ni

proeurem

fondé , j'ai été par le

fait

ce

qu'il

est

pa;r le droit, l'orateur de la

paix

et

1\mdes

defe~_.seurs

des droits

du

·peuple.

M. cle la Fare, consul d'

Aix ,

n'a , dit~on;

assisté dans

aucu.ne

assemblée des communes.

Et rnoi qui

~

membre d'un autre o.rdre ,, ne

pouvoit me trouver dans ces assernblées, j'a~

du moins

secondé

par quelques efforts l' ex"'"

pression du vreu national

dont

les ,commune~

étoient

rorgane.

M.

,

de la Fare est membre du

tiers par sa.

G ,.