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iui, en a í·apporté l'extrait du contrát
de
ma.;
tiage
a
lui remis
par M.
le comte de
Mi:i;-abeau.
Il en
a
été
fait lecture; ~wes quoi ayant
~té
tlemar1:de
a
M~
Bdnnety , trésorier, .si
M..
de
Mirabeau
étoit
compris da11:s
l'état
q'afilorine~
ment ,
il
a
répoudu
que M; le
qiqrquis
de
Mirabeau,
pete,
payoit
annuellen~ent l;affio–
rinement en entier <le tous ~es
fiefs de_ Prq-2
vence, et qt1e M. Mirabeau, fils, n'avoit
~1icun
afflorinement sur sa tete.
,, Et
l'assemblée considérant
qü'on
ne peut
avoir
entrée
da.nslés
asseníblées
de
la
no_bles se;
c¡üe par la prop'riété, ou par ia possessioµ d'mi
:fief, que M. de Mirabeau, en
l'état des
ti-tres
par lui produits , n'a
rti
possessiori, · ni pro.;
priété
en ·
Provence;
a
délibéré,
en
cqr.rigeant
1'erreur
tlans
laquelle
MM.
les iyndics
ont
été (
1);
(I)
Remarquez
qu'a
ces
mots:
L'erret,r
datzs
laqilelle
,MJ,f.
'\:Les
syndic
s
ónt
lté:
on
a,
dans l'extrait impr'i–
mé de cette
délibér~tion , ajouté telui-ci:
ÍNDUITS :
expression au moins désobligeante, puisqu'eUe inculpe;
ou Je ·généalogiste de la nobiest;e, dbnt la
réputatioa
est
irrecusablement établie, ou moi' qui n'ai pas mcme;
comme on peut croire , dai gné regarder
a
ri1es p·reuve~
Ce mot
lhduits,
est do"nc un faux commis sur l'é-.Qreuve;
soit pour plus d'élég~nce, soit pour tout autre mo ti
f.
C':_tte
locution,
l'erreur dans laquellé messieur s les Iyndics ont:
Tome
l.
G
.-