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nale, s_i ses décrets 1las_~ure_nt pas le triom–
phe de vos
prétentions,
l'éternité de vos' pri..
viléges
!,
Généreux amis de la paix j'int€rpelle
1c1
votre honneur, et je vous somme de déclarer
queUes expressions de mon discours ont
atténté au respect dú
a
l'autorité royale ' ou
aux
droits
de
la
nation·
?.•..•
Nobles Pr¿;e~–
~aux,
l'E~irope
est attentive;
pesez
votre ré–
ponsé.
Hommes de
Dieu,
p'renez garde; Úieu
vous écoute.
Que
,i
vous gardez le silence ,
si
vous
voui'·
renfermez
dans
les vagues déclamations
qué
vous avez lancées contre
moi,
souffrez que
j.'ajoute un mot.
Dans
tous les
pays ,
dans
tous
les
ages,
les aristocrates ont
implacablement
poutsüi
v~
les amis'
ch1
peuple; et si,
p?r j.e
ne ~ais ·quelle
comb'inaison de la fortune, il s'en est élevé
quelqu'un
dans
leur sein, e'est celui-la
sur–
tout
qu'ils
ont
frappé, avicies. qu'ils ·étoient
cl'inspirer la terreur
par
le
choix
de la vi~~
time. ~insi
périt le
de1pier eles
Gracques de
la
main des
patriciens; m,ús atteint du
c_oup
mortel, il lanc;a de
1a
poussiere vers le ciel,
en attestant les
dieux
vengeurs; et de . cette