·e
4r
)
Je
dis
qHe Cette
ci!constanée . seroit
plu~
i -njur¡euse
poiir
les députés ·du
tiers
qúf pour
"illoi. En eí{et ,
-a
·qui
done
ai -
je 1aissé le
droit de doi1fer ·,
que
dans l'engourdissement
univérsel,
j_e_
n' eusse
le
courage
d_e· m'oppó–
ser
a
la
paix
de la
s-ervitud~ ,
et d"el?-
fa_ire
gloir,e
? ·
Mais
les
mandaÚ1iré's.
des
Cóll;lllUmes
.mériteroient
>
dé
grands reprochés ., .,
si
con~re
l'iptéret.
du
pay~
et
le ·v"~u
',.de
leurs.
'com–
inettans '
ils
avoient
laissé échapper
une
seule
·<>ccásion
d'e
fa,ire
lés prote~tations .dont
ijs
~ét6ient
expféssémerit
chargé~. ·
. Cependant' ,
jamais·
1~ '
l~t~e
de
l'~pini9~
püblique
contre les ·
préteritio~s~- des
.dasses
'p'ri~ilégié-es ,
Jn~
s'
étoit
dévelonnéé,
avee 'phu;
...
,. .t:...
-t.
.
(4':
lo,-.,
.
d'éner_gie
que·_
le
jo\1r .
Otl
j'ai_
fait
ma
lp.OÚOn,
'·dafis la persu~sion invincible que pour
r~n~
4re
le
peuple t,;anquille e¡ .
meme
générem~::,
ii
he fauf que i-éconnoitre
ses '
df óits ou
r~f–
pecter
ses rédainations.
Ce
E>úr-la
m.eme :·
la
·seul'e
modération des
dépl-~!f,__S
dÚ
.
~~ers
,
leur
seule
déférerice '
ou pl:uto't leur pré:voyanfe
sensibilité
émpech~
des ,
exc~s "', -
des · voies
de
f~it,
de~
catastr~phes.
Eh! si"fout étoit
éalmé :
pourquoi ce ~équisitoire si ·
hfttif? ·
pourquoi
~e·t arret du
parlement
si subif
?
p·ourquoi
la
~éanc~
c.onimen~a-t-elle par
une explosio~