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iier ies
droits
d'ü~e
_p_roytnce
entihe, ,et com.,,
próinéttré
'h
légai'ité m~me
des
états-généraux,
pot1r
con·s~rver , ,
fious
p€rsonrleiiement ;
i.metepréseñtadon ~provlsóite
qi.íel'on nous
d1spúte?
. ·_
..
,
~
·
_Je
voú,lrois
qüe ~;on
me
dit, s'H est· b~en
vrai que ee
¿oii
au
i:oi
seul
el
former la
cons""
tit:utión
~-e
ia natioi?-__
proyern;a1e;
si
ce
h;,est
po1nt
Á
uné nat:ion ,
et sür - tout
~
celle qui
s'est donnée eri co~ps
.á'etat,
a
cor;iger ses
' 101x--,
pu1squ'elle
1
s{les
esf
primitivemerit
don–
nees .
elle-meme
?
Le
prÍnc_ipe est-i_l
taux
póur . _
.
')
.,
.
..
.
nóus?
il lé seroit
poui-
la France
.entiere :
et
. '
1
!
.
.
.
.
cles-lors
' J
óu
la
tenue
des
états-géhéraux seroit
'
'
inutile,
óu
leur
convocation ne sei"oÍt oue
1e
·~imulaére
1
d'un va1n
pouv~1r.
· ...
Et
poürquoi
Ia
nation
prove~~aie, qu1
¡:P
ail-–
leürs
~
sur.tant
de
points
une
cónstitution
tres–
libre '
ne poürroit-eÍle pas
cbrrig~r
les
abus
qui la
d.épq.rent.
Setoit - cé
détaut de
pouvoir
.<lans
une natiort qui a
placé
sur
le _treme
ses
ancierts ·
rois
?-
seroif - ce
défaut
de
poüvoir
· dans une nation, qui , plus
nkemment
piisc
pour .arb~tre
supr~me entre telix qui
se
dispu–
toient
le
droit
de la
gouverner, a
pi~cé
li–
hrement
la
couronne
sur
la
tete
dü compéti–
_teur qu'elle a voulu
choisir?
Qu\H~ne
cite.plus
Tom.c l.
.
C
.