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réductiOf\ étoit juste, ·la réserve ·dont il dé..
pei:idroit toujours -d'un ·seül ordre d'user
~
son ·
gré; seto-it nécessairemenf~injuste. ·
Je n'entre point dans les détai.1s qu'il '· est
fa~ile de S1J.ppléer. Voila
qHels
sont nos états:
les ,
voila ,tels qu'ils seront tóu¡ours · si ·nous
- he prenons pas , des
moy~tís
effi caces de les
réformer. .Je dis voila
nos
:états;
mais je-
me
garde bien de di're voila 1~ nat ibn. 'Je éroi–
rois outrager~ votre conscience
et
la mienúe
si
j'Osois imagiíier que quelqú'un de, nous
pt'1t
seulement ·penser que -la nation provenc;ale,
est
légalement ·représeritee: . "
-·'
Or
., ·
si-
elle
ne
l'
est pas, qíli sommes~nbüs
icí
?
La nation ~st encore ' tonte entie-re,
la
011 '
il
ne
devroit plus
se tróuver que des élec–
teur:,s • .
Nous
rious-
dirions envain
les
chargés
de ses
pouvóirs ;
_six c·ens
nirlÍe
voix nous
dfésavouróient; six cens mille voix nous
dé-
'Sélvouent. ·
'
Je sais ,
je-
pré:vois du moins ce·que l'on poura
répondre,
n·on
pour renversedE:s
príncipes
que
j'ai
établis';
mais pour tentei~ de _le~ éluder? ,
Des
états, .
clira-t-on sans doúte , qucfrque
irrégulieren'.l~nt cdnstitués,
'. n~én -sont
pas m'ains
des états ; la nat{on
pet1t
les
iefóruier;
mars