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comme snr toüs les autres, nous n~üs sommes.
écartés de tous Les príncipes. . ·. -
Je ne dirai pas_ que 1 de la natioti
'doit l'emportei sur les ordres qui . ne s0nt
pas la nation ; je liguerai ce príncipe a la
postérité. Je ne ,v:eux etre , du naoins dans
les assemblées politiqttes, ni plus jusie, n~
plus sage que mon siede. ,
.. Mais je demande s'il est juste , meme dans
le siecle oii nou~ sommes, . que _ les deux oro;·
dre-s, qui ne sont pas la nation., 1'emporfent
sur .la nation.. Cet . abus, je Ié -sais, existe
ailleurs que ehez nous, j'aime~pis autant
que l'ora dit : p.uisque l'on est injuste ailleurs ,
nous avons le .droit de l'etr,e.
Je sais eµ-core qu@ c;et_. abus ~xis,t,oit autre.:
fois parnü nou_s ; m4is clu rnoin$.. nous . le
rec9nnfimes l!année derniere. N0us, pm-€S' dts
r~serves ; le~ COlíll~tmes n'en.firent pa$ ;. mª is
1a nation a-t-elle besoin de -se résePver se s.
-droits? Ne son.t-il.s pas éternels com~ ~ elle?
Q1i'es.t-ce, ~'ailleurs, que la reserve q-1i\1~
o r dre .a d'eo,trer €\'q,ent aux: éfat~
dans~to.utes oc;casj ons impo~tar,ites? Soyon~
.,de bonne-foi; o.u la- réduc~ion cG>nse11tie n'é–
t,oit qü'tm vai; ~~1~, · et des-lors l'abus qu'on
youlut corriger ne l'a point été; OU, S1 Ja