Previous Page  102 / 476 Next Page
Information
Show Menu
Previous Page 102 / 476 Next Page
Page Background

1

( 32)

j~

n·e che·rcherai point

a

·réponc:1re

a

toutet

·ces·

objectto~s,

qui

entraineróieat

des

débáts .

interminables.

Mais

je voudtois que l'on

me

dit ; si

ttn

po'trvdír provisoite n'est pas

rieHement

tUl/

pouvoir absurde,

f'otsq1lil

s'a:git

d'accord€t

des

impots

au

nom

d'üne

nation

?

Oh en

~erións-nous,

si les

parlemerts;

qui

votoient

les

impots

depuis des

siecles·~ avoient

crll

pou–

voi:r

continuer provisoirem.ent

cette

fonc~

tion

illég?le

?

Ou

en

serions-nous, s'ils n;a•

voicmt ¡fas·

-eu

le courage

de

déaoneer leut

i-n-compéterlce

a

la

natiort

elle--meme'

seule

dépositaíre de tous les· droits et de tous les:

pouvoirs. Eh

·!

Quoi

!

ce

que la nation,

ce

,qt1e

l'Eur0pe entie1ie

a lo11é:

da.ns

la co-aduite

des

patlemens,

ne seroit-i1

' illégal

que

pour..

· n.ous

seuls?

~'.

Je

vdudrois

qué Pon me

<lit,

si uri éta{

provisoire est

véritablement

légal dans l'iñs ..

tant

011

il

s;agit

de

l'état défiaitif

de

la

,rta–

tion;

de sa

ctise

de·,

vie

ou

de mort

?

fo-

voudrois que ton me· dit ,

puisqt1e

les

sueces

de

la

raison dans

les

états·--généraux

ne

peuvent

' dépendre

4ü.e

--de

:la

repnisentatiort

parfaite de

la

nation ; si

nous

pouvions sans

tlanger, je dirois presque

sa.ns

crini.e, 'sacri..·

·

be~