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j~
n·e che·rcherai point
a
·réponc:1re
a
toutet
·ces·
objectto~s,
qui
entraineróieat
des
débáts .
interminables.
Mais
je voudtois que l'on
me
dit ; si
ttn
po'trvdír provisoite n'est pas
rieHement
tUl/
pouvoir absurde,
f'otsq1lil
s'a:git
d'accord€t
des
impots
au
nom
d'üne
nation
?
Oh en
~erións-nous,
si les
parlemerts;
qui
votoient
les
impots
depuis des
siecles·~ avoient
crll
pou–
voi:r
continuer provisoirem.ent
cette
fonc~
tion
illég?le
?
Ou
en
serions-nous, s'ils n;a•
voicmt ¡fas·
-eu
le courage
de
déaoneer leut
i-n-compéterlce
a
la
natiort
elle--meme'
seule
dépositaíre de tous les· droits et de tous les:
pouvoirs. Eh
·!
Quoi
!
ce
que la nation,
ce
,qt1e
l'Eur0pe entie1ie
a lo11é:
da.nsla co-aduite
des
patlemens,
ne seroit-i1
' illégal
que
pour..
· n.ous
seuls?
~'.
Je
vdudrois
qué Pon me
<lit,
si uri éta{
provisoire est
véritablement
légal dans l'iñs ..
tant
011
il
s;agit
de
l'état défiaitif
de
la
,rta–
tion;
de sa
ctise
de·,
vie
ou
de mort
?
fo-
voudrois que ton me· dit ,
puisqt1e
les
sueces
de
la
raison dans
les
états·--généraux
ne
peuvent
' dépendre
4ü.e
--de
:la
repnisentatiort
parfaite de
la
nation ; si
nous
pouvions sans
tlanger, je dirois presque
sa.nscrini.e, 'sacri..·
·
be~