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'LE

"FANATISME"

Je bjmis mon destin; je meurs ; mais _v,ous vi-vez.

O

vous qu'en expira'nt mon creur a retr0uvés,

Séide, et

vo.us.

, Palmíre, au 11:om dé la na:ture,

Par ce rest;e de sang qui

sott

-de ma blessure,

Par ce sang paternel, par vous, par moh trépas ;

Vengez-vous, vengez-moi, mais ne vous perdez pas.

L'heure approche' mon fils'

011

la treve rornpue

Laissait

a

mes desseins une libre étend.ue;

Les <lieux de tant de maux -0nt

pri;

quelque pitié,

Le crime de tes mains :p'est commis q~'a-moitié.

Le peuple avec le jour ~n ces li.eux. va paraí'tre;

Mon sang va les _conduire: ils vont punir un traí'tre .

Attend.ons ces

1

moments.

·

SÉIDE,

Ah!

je cours de ce ;pas

, Vous immoler ce monstre, et hater mon.trépas·;

Me punir, vous venger·.

·

se.ENE

VI.

,ZOPIRE~ 8ÉIDE, PALMIRE., OMAR,

su1TE.

Ol\1AR.,

Qu'o~ arr.ete Séide.

Secourez ;tous

Zopire,

encharnez l'hoqiicid

1

e.

Mah~m~t ri'est venu_que pour venger !es lois.

ZOPIRE,

Ciel

!

quel comhl,e du crime

t

et qu'ést-·ce qúe je v-ois?

f

.,

'

,,

.51.B·H:>-E,'

Mahomet me

punir?