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,
L'ENFAN-T PRODIGUE.
SCENE
II.
LISE, MARTHE, JASI\JIN.
1 ·'
LISE,
EH
'biep! Jasmin, q.H'a..,t-on
fait.?
J
ASl\'11N.
Avec gloire
J'ai soutenu mon interrogatoire;
Tel qu'un fr.ipon hlanchi
·d'arrs
le métier,
J'ai répondu &.a.D'$·Ja:ma,is m?e_ffrayer.
L'un vous tr.a.i:nait,s.á.
v,,oiK
de,p~dagogae;
L'autre hra,iJ{a,it d'@,t@-Q c(),is,.dlun
iÜr
rogue.,
Tandis qu!ti»¡a.ttti:é1;1a-v.e-o
qn
t~n
fluié:,
Disait, mon fiJs.:,:s-a:.cb@sdia
v:.é11ité:.i
Moi toujours
1
fe1tm:.e;,,e-1i:t0~,oud
la,.cmnique:,
Je remharr'ais la tro~pe-s.c(!)laisJiqtte;
,;_ ')!Jl'SE~'
od
ne sait rien?
,. r
· ';JASM'fl'Í.
Non, rreni; m-a-i·s des demain
On saura,touti-; ·car-,toüts0 saiit·é"nifin.
'"tr-sE.
Ah!
qué' 8.G.'müih'.5
Fié'r,nífat
1
en
coler·é·
N'ait pas le temps d!&.
~rév.er'iir son pere :
Je tr~mble encore' ettout accrdit m~ pem:j
Je crains pour lui / fe érainspour mon honneut.
Dans mon ~n'rot:rr i'.ai _mi's.m'e's espérances;
Il m'aidera...
MARTHE.
Moi, je suis dans des transes
t'