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VENFÁNT
PRODIGUE.
SCENE
V.
EUPHEMOiN
FILs,
l'evenan~,
J¡\SMIN.
J
ASMIN,
en l'embrassant.
JE
t'ai trouvé déja condition,
Et nous serons laquais chez Euphémon.
E U P HÉ l\10 N
fils.
Ah!
JASMI·N.
'S'i1 te plait, quel exces·de surprise?
Pourquoi c·es yeux de gens qu'on exorcise,
Et ces sanglóts coup sur coup redonblés,
Pressant tes m~ts au pass~ge étranglés ?
EUPHÉMON
fils.
Ah
t
je ne puis contenir ma tendresse;
Je cMe au trouhle, au remor<ls_qui me presse.
JASMIN.
. Qu'a-t-elle dit qui t'ait tant agité ?
EUPHÉMON
fils.
Elle m'a <lit... Je n'ai rien ééouté.
JASMIN.
Qu'avez-vous done?
EUPHtMON
lils.
:Mon coour ne peut se taire :
Cet Euphémon . ..
J
ASMIN.
Eh bien?
EUPHÉMON fils.-
Ah
!._ ..
c'est
01011
pere.