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t-34

L'ENFANT

PRODIGUE.

EUPHÉr.iiOÑ

fi

1

ls,

a

p~rt.

Ce coup a misma patiénce

a

bout.

(

A

m_adame Croupi1lac. )

Ne doutez point que mon .creur

n'e

partage

Amerement un s_i seusi'ble, outrage.

.Si

j'étais cru, cette Líse aujourd'hu¡

As.surémen~ ne,serait pas pour lui.

.

MADAME

OROUPILL.AC

,

Oh! tu le prends du ton qu'1Í le faut prendre;

Tu plains,µion sort : un gueux est toújóurs tendre;

Tu paraissais bien moins compatissanf

Qµand tu roulais sur l'or et sur l'argent.

Écoute; on peut-s'<mtr'a.ider dans la vie.

J

ASMIN.

Aidez-nous done, mada.nie, je vous prie.

MADAME CROUPILLAC.

Je veux iéi te fai_re agir póur mói.

É

U

P

iI

É'

l\:Í

O N

fils.

Moi vo·us servir! Hélas, ihadame, en quoi?

MA.DA

: ME CR@UPILLAC,.

En tout.

11

faut prendt e ~n mil'in m(m injur.e.

Un autre habit, q,uelque peu de parure,

Te pourrai.ent rendre encore assez joli:

Ton esprit est insinuant, poli;

Tu

connais l'art d'empaumer une filie :

Introduis-toi. , mon cher, dans la farnilfe;

Fais le flatteur aupres de Fierenfat :

V

ante son bien, son esprit', son rabar ;

Sois en faveu.t ; et lórsqué

proteste

Contre son vol, to·i, mon ch·er,

fais

le reste.

Je veux gagner' du

temps

en proiéstánt. '